Jouran - La Princesse des Loutres.

Sawa bah ouais j'connais.

Elle touche la Cotorep.

Mais elle s'est légitime hein ! Elle gratte pas l'oseille !

Elle a un peu du mal quoi.

Elle prend mid-life contre un ragondin.

Il était balaise le ragondin elle m'a dit. Mais c'était un ragondin quoi.

Enfin bon. Elle taffait pour un brun, un facho. Le mec était pas net. C'est lui qui l'a élevé. J'te dis pas le dégâts. A coup de ceinture mon cochon.

Il en a fait quelqu'un de bien ! Un vrai le monsieur. Un homme de principe. Un patriote !

Donc, parce qu'on parle de chose sérieuse ici. On parle de nos droits ! Enfin de ceux qu'on a pas.

Elle travaillait pour la gestapo. Elle se posait pas de questions, trop dur pour elle. A côté elle vendait des bouquins, SAS, tout ça, c'était sa couverture. Elle avait récup' une gamine qui portait le nom d'une bière connue. Sa petite esclave.

Depuis j'ai pu de nouvelles.

Elle a arrêté son traitement j'crois.

Lady Snow Blood est un nom relativement connu. Parlant à ceux fans de chambara ou autres productions cinématographique exotiques de l'extrême orient. S'en veut que le titre vient en référence d'un manga fondateur, de Kazue Koike, dont l'oeuvre traité ne porte que l'apparence orignal et le concept de vengeance.

Petit rappel de circonstance qui aurait attrapé le perdu, qui sous couvert d'un générique intriguant, et d'un semblant d'animation tracée s'est dit retrouvé devant une production de tiers supérieur.

Que nenni !

L'homme à la base de l'œuvre ne peut que pleurer de la nanardisation d'un concept qu'il a créé. Bien que, cela a surement été fait sur le grand écran, mais la, sur le support traité, nous atteindront deux trois frontières de la bêtise qui ne peuvent que relever soit d'un ego insupportable soit d'un second degré décomplexé.

C'est une anime islamo gauchiste.

Ce terme apparu ces dix dernières années n'arrivent que rarement à être correctement défini si ce n'est par la crétinerie de ceux qui le portent en lance. Ici peut-être avons nous un exemple concret.

Mal animé, tout en vendant une qualité visuelle à l'ancienne que les anciens ne rangeraient que dans leur souterrain, écrit avec les pieds, si ce n'est avec les cheveux, ne sauvent d'une catastrophe des personnages pour certains tellement grossiers qu'ils en deviennent des bouées sur lesquels se raccrocher. Une fois reposé sur eux, une respiration bien posée, se trouve devant nos yeux une blague, dont le sérieux ne peut que nous décontenancer. La musique quant à elle, souffre de son appartenance à ce qui nous ait montré.

Mais comme le dit l'adage.

Vaut mieux en rire qu'en pleurer.