C'est fou quand même.
Mais surement que c'est de la crotte, où que personne ne sent les épaules.
Que ce soit l'un soit l'autre. Personne de sérieux n'est là. Et qui débarque encore.
C'est bibi quoi.
Mais qui est bibi ? C'est le gars, la meuf, qui de par hasard, un jour de pluie, en tout cas sans soleil a lancé les aventures du maudit.
Gonflé d'égos il était, tellement plein qu'il fallait déterminer qui de l'orgueil ou du soi le composait. Le gars il a souffert, et pas que lui, et surtout pas que lui. Chaque jour répété il teombe, à notre niveau face au labyrinthe sans sortie.
"Mais on va s'élever, voir au dessus". Il ne l'a pas dit. Par contre, toi là, qui regaerde ça, qui t'intéresse vraiment à son parcours, ça t'as bousculé. Il t'a fait tremblé tes parties, bien posé ou mal assis.
Ceci est un véritable récit de fantaisie, la transformation moderne de l'Isekai, il est modèle posé, qui tel un Games Of Throne, sortie peu de temps après, ne fait que récolter et redonner à ceux qui l'avait oublié, un récit riche et animé, d'une violence divertissante, calibrée malheureusement sur trop de d'années mais toujours pour nous rappeler.
Que c'est cette qualité, qui malgré les digressions imposés, est forgé sur notre exigence d'un récit posey.
Qui viendra après pourra mieux expliquer mais Re:Zero s'est installer, tranquillement aux côtés de la Dune et de la Comté.