Critique de l'anime Nabari

Bon, à première vue, encore une série de Ninja.

Au début on rencontre Miharu qui serait le détenteur du Shinrabanshou. Un pouvoir ultime permettant de contrôler toutes choses. De réaliser n'importe quel souhait que le propriétaire puisse formuler, la connaissance ultime quoi. Et à cause de ce pouvoir Miharu est poursuivi. Il n'a aucun désir pour lui-même et semble se désintéresser de tout. Orphelin depuis longtemps, il ne se souvient de rien d'il y a 10 ans. D'ailleurs, personne ne se souvient de quoi que ce soit relié à cette époque. Mais bientôt Miharu se voit contraint de rejoindre le monde de Nabari, un univers gouverné pas les ninjas afin qu'il en devienne le roi.

Nabari no Ou ressemble énormément à Naruto de plusieurs façons. Bien que celui-ci soit plus mature et moins comique. Miharu possède le Shinrabanshou ce qui l'amène à être poursuivi par d'autres clans de Ninja. Comme Naruto par les Akatsuki avec le Renard à neuf queues. Ensuite certains Ninjutsu sont effectués par des Handsign. Puis certains personnages semblent possédés des pouvoirs qui leur sont innés exactement comme les kakegenkai. Sans mentionner le personnage principal qui est exactement à l'opposé de Naruto.

Par contre l'anime contient plusieurs bons points. Les personnages ne semblent pas invincibles comparativement à un humain moyen. Le design des personnages se fait plutôt classique et simple mais il amène un côté intéressant à l'univers, qui est de notre époque. On ne verrai pas quelqu'un trimbaler une épée et plusieurs kunai sur lui, comme ça, dans la rue. Les décors sont intéressants sans toutefois sembler irréels. Et l'histoire contient suffisamment de rebondissements pour nous pousser à la regarder jusqu'à la fin.

C'est pour cela que bien que je ne considère pas cet anime comme un excellent anime je ne le considère pas mauvais non plus. Tout est dans les goûts de celui qui regarde. Si vous avez apprécié ou même détesté Naruto alors Nabari no ou pourrait être pour vous. Si vous avez détesté Naruto à cause de l'immaturité du personnage, bien sûr.