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GTZ.
Franchement c'est pas bien. T'as un coup dans le piflard, et là tu dérespecte. Il est mort le respect j'vous dis.
Enfin, c'est pas bien. Grammé je suis. "Longtemps" que j'ai pas tapé critique, et la je viens souiller "Les combattants sont déployés".
Et ouais c'est comme ça qu'ça s'passe.
Le copain y débarque. Ancien mon cochon, de l'organisation. Pas pour rien copain, les patronnes ont du "charisme", la brunette en a plus que les autres, de quoi motiver n'importe quel smicard. Longtemps il est dans l'organisation, jamais d'augmentation. Mais l'espoir de gratter, de palper, de part son ancienneté, a toujours été, son moteur premier.
Ils les ont soulevé les héros, organisation du mal, bien dirigé, on s'expand.
Le numéro 6 il est, sur le dé, et parmi les premier.
Voilà sa promotion. Premier explorateur, dans la grande expansion de son organisation de salopards dont il est le porte étendard.
Débarquant, ni plus ni moins, plus ou moins contre son gré, accompagné de la loli imposée, IA camarade, un monde y doit conquérir, de fantasy obligé. Et lui full équipé, Sheppard bien posé, se retrouvé à nue, juste habillé de sa bêtise mêlé d'un soupçon de lubricité.
En voilà un résumé joliment posé. Mais en fait c'est vite fait. Animé correctement, musicalement négligeable, écrit au stylo sur un bout de papier, d'un VN racoleur mais pas si mal torché, s'en suit un divertissement négligé mais pas si mal démagoté.
Il existe pas ce mot démagoté. Faux mélange de démago et de gôté, qui n'existe pas au passage. Pour vous dire que pas si mal fagoté.
Vous me comprenez.
Ou pas.
En gros ça flaire l'ancienne ma couillasse, ça suinte le Slayer.
Me comprend les vie(lles)ux con(nne)s.
Mais en fait pas du tout, c'est juste mal foutu, pas sérieux, plaisant, petit, c'est sympa quoi.
Ni à faire ni à pas à faire, racontant et racontant rien, flairant la bêtise sans l'approcher, douze épisode malfamé, d'une histoire posé, mal vendeuse d'un fond mal déféqué, mais si agréable au visu, que le contrôle au facies il l'a esquivé.
Vite fait il est vrai, mercatile assuré, d'un manga ou d'un papier mal uriné, s'en suit un divertissement quasiment anachronique mais qui rappelle un fond de pensé.
Bien déliré. Porte ouverte qui par coups de marteau pourtant mal dirigés, ne pourra que rappeler que d'autre plus avant l'avait mieux enfoncé.
Même si pour le coup, le coup que vous allez peut être visionner, ici il est plus question d'un petit maillet mal dirigé. D'une bonne bière en terrasse ou d'un perrier.
Il était frai et c'était tous ce qu'on demandait.