Ça fait longtemps que j'ai commencé Shakugan No Shana et pourtant je m'en souviens.
Mais pas en bien.
Je n'ai jamais fini cet anime. C'est mauvais MAIS mauvais ! J'ai cru que j'allais me pendre.
Ça commençait bien pourtant. J'avais aimé les graphismes et Shana m'intéressait. Et 2eme point positif, l'histoire se met direct en marche. PAF 1er épisode, c'est bon le scénario est en place. Mais alors après !
Je m'en souviens très bien, j'avais trouvé ça d'une lenteur ! Incredible ! Il y avait des combats tout ça tout ça mais je sais pas... je me suis ennuyée ferme. Pourtant j'y ai cru, j'ai continué ! Effort surhumain de ma part.
Shana m'exaspérait à un point inimaginable. Je la supportais plus. Quand j'ai vu une saison 2 et un film (j'imagine même pas), j'ai arrêté. Vers la moitié je crois. Mais le pire et je dis bien LE pire c'est le "héros" (si on peut qualifier cette chose de héros). Satou - déjà ça commence bien, je ne compte plus le nombre de persos principaux ayant ce prénom - est d'une platitude exaspérante.
Il ne sert mais à rien, aucun charisme, aucune expression. Il est "vide" ! Et PIRE encore, le triangle amoureux ! Je n'ai rien à commenté la dessus ça parle de lui-même hein ?
Je ne peux rien dire des musiques, aucun souvenir.
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Infos sur l'anime
Shakugan no Shana (TV 1)
Sakai Yuji est un jeune lycéen dont la banale vie aurait pu durer éternellement si ce n'est l'étrange scène à laquelle il va assister sur le chemin du retour du lycée.En effet, il va être pris dans un fuzetsu (sorte de kekkai à l'interieur duquel le monde est comme gelé) et va être témoin d'une bataille sans merci entre une jeune fille aux yeux et cheveux écarlates et un monstre mangeur d'âme.Choqué à cette vision, il l'est d'autant plus lorsque la guerrière lui apprend que le véritable Yuji est déjà mort et que lui n'est qu'une Torche mise en place pour le remplacer. Sur le point de l'achever, la Flame Haze se reprend lorsqu'elle comprend que Yuji n'est pas une Torche normale mais un Mistes (Torche contenant un pouvoir spécifique).Commence alors une cohabitation délicate rythmée par des combats de plus en plus violents.