Chairs labyrinthiques ou l'art de la grande confusion
Netflix continue à produire à la pelle de l'animation japonaise et s'attaque désormais à un genre excessivement en vogue : le genre catastrophe. Bones est chargé de la production de l'animation, et il faut bien reconnaître les choses comme elles sont : le résultat est impeccable techniquement. L'abondance et la dureté des traits du character design sont tant un moyen usuel d'insuffler un sentiment de sérieux à une production qu'un énorme piège pour la constance de l'animation, qui précisément ici ne souffre d'aucun temps mort ; chaque plan est beau, impeccablement animé, parfaitement dessiné si l'on excepte quelques imperfections anecdotiques. Si le manque d'audace visuelle est frappant, la [...] Lire la critique