Il est de ces animes dont on se rappelle longtemps. Peu importe la raison, ils restent ancrés dans notre mémoire comme un évènement marquant de la japanimation, bon ou mauvais. Accel World ne se classe pas parmi ces animes. La messe est dite. Il est fade, sans saveur. Pourtant il ne manque pas grand chose pour en faire un ensemble plutôt agréable et complet. L'idée de base est pourtant intéressante ! Un jeune homme, lycéen de son état physique (précision importante), en surpoids et persécuté par les autres s'évade dans un monde virtuel où il est l'un des meilleurs joueurs. Le principe du héros, en surpoids et persécuté est rare. C'est là où l'originalité de la série a été [...] Lire la critique
Accel World
- Format : Série TV
- Année : 2012
- Titre original : Accel World
- Nombre d'épisodes : 24
- Studio : Sunrise
- Réalisation : Obara Masakazu
- Production : Genco
- Site officiel : http://www.accel-world.net/
- Saison : Printemps 2012
- AKA :
- アクセル・ワールド
- Axel World
- Accelerated World
Arita Haruyuki est un lycéen en surpoids mal dans sa peau, persécuté par les caïds du lycée. Heureusement, dans le monde futuriste dans lequel il vit, il est capable d'entrer dans un univers virtuel, où il passe son temps à améliorer son score au mini-jeu de squash dans lequel il excelle. Haruyuki a, depuis longtemps, abandonné la réalité.
Un jour, Kuroyuki, la fille la plus populaire du lycée, le repère sur le tableau des meilleurs scores et lui propose de télécharger un logiciel, le Burst Link, qui lui permettra d'accélérer la réalité pour se faciliter la vie. Ce qui semble une aubaine pour Haruyuki devient vite un calvaire lorsqu'il apprend qu’accélérer la réalité lui coûte des points, et que le seul moyen d'en gagner est de défier d'autres Burst Linkers dans un jeu de combat. Pour gagner, Haruyuki devra prendre confiance en lui...
Synopsis soumis par Yuki Usagi
- Studio d'animation : Sunrise
- Production : Genco
- Réalisation : Obara Masakazu
- Chara-design : Aikei Yukiko
- Mecha-design : Jinguji Noriyuki, Sakura Takumi, Taiga Hiroyuki, Yamane Masahiro
- Auteur : Kawahara Reki (Light novel)
- Musique : Kotoko (Ending), May'n (Opening), MintJam, Onoken, Ôshima Hiroyuki
- Diffuseur : AT-X, BS11 Digital, Chiba TV, Hokkaido Broadcasting (HBC), Kids Station, Mainichi Broadcasting (MBS), RKB Mainichi Broadcasting, Tokyo MX TV, TV Aichi, TV Kanagawa, TV Saitama
- Animation clé : Seigasha (ep.7, 16 et 22)
- CGI : Orange
- Composition de la série : Yoshino Hiroyuki
- Couleurs : R.I.C, Yokoyama Sayoko
- Décors : Studio Easter
- Diffusion online : Bandai Channel, Niconico, PLAYSTATION Network, Warner Bros.
- Directeur artistique : Ike Nobutaka, Nishima Takafumi
- Directeur de l'animation : Aikei Yukiko
- Directeur de la photographie : Satô Atsushi
- Directeur du son : Tsuruoka Yôta
- Intervaliste : Acca effe, R.I.C
- Montage : Imai Daisuke
- Nettoyage Animation clé : Seigasha
- Production du son : Rakuonsha
- Set design : Aoki Tomoyuki, Inose Yukie
Suzumura Ken`ichi (Ash Roller), Misawa Sachika (Black Lotus, Kuroyuki-hime), Toyosaki Aki (Kurashima Chiyuri, Lime Bell), Asanuma Shintarou (Cyan Pile, Mayuzumi Takumu), Kaji Yuuki (Arita Haruyuki, Silver Crow), Tomatsu Haruka (Wakamiya Megumi)
- Licencié : oui
- Titre français : Accel World
- Editeur: Wakanim (VOD)
- Accel World EX (OAV - 2012)
- Accel World : Infinite Burst (Film - 2016)
- Accel World (Manga - 2010)
Critiques des membres
#Par Loveliness le 01-10-2012
Shonen typique, Shonen quand même!! Voilà pour moi ce qui désignerait le mieux Accel World! Une recette typique du Shonen "Amour amitié BASTOOON!!", mais mis dans un univers particulièrement attrayant pour tout fan de technologie ou de jeux vidéos. Graphisme : Très franchement, l'animation est belle. Vraiment. On reste loin d'un Ghibli, mais pour une série TV d'une vngtaine d'épisodes, c'est d'un bon niveau. Mention spécial au héros, que j'ai appris à adorer malgré qu'on ne s'y identifie pas facilement, du moins pour mon cas. Les combats sont très fluides, sans plans fixes, et c'est surtout se qu'on demande dans des shonen, non? :-) Histoire : Autant vous le dire tout de [...] Lire la critique