Amaenaideyo!!

Amaenaide –yo est à mettre dans la catégorie ecchi. Il raconte l’histoire d’Ikko, apprentie bouddhiste, qui vit avec 6 nonnes dans un monastère. L’histoire de fond est bien, les moines et nonnes combattent les esprits du mal afin de les purifier, cependant la forme est assez décevante et utilise beaucoup de répétitions. En effet, à la fin de chaque épisode se déroule un combat contre un esprit du mal, le seul moyen de le purifier est de faire appel aux supers pouvoirs d’Ikko. Mais, pour réveiller ses supers pouvoirs, Ikko doit être excité par une fille et par chance, il est avec des nonnes plus jolies les unes que les autres qui ont tendance à se retrouver en sous vêtements. Âpres une [...] Lire la critique

Amaenaide -yo n'est pas un chef d'œuvre, certes, mais il ne faut s'abaisser à faire des comparaisons. C'est une série qu'on peut effectivement classer dans le genre "echi-harem", mais pour ma part je trouve que c'est regardable (entre deux séries plus sérieuses par exemple) Par contre, il est clair que ça fait un peu baclé en général. Des gags grossiers, du tripotage et surtout un dénouement final ridicule et quasi-similaire à chaque épisode (vous comprendrez). J'ai bien aimé les personnages qui sont des moines pas très catholiques (si je puis dire) et bien sûr l'humour "nichon-pouet pouet" qu'on recherche en général dans ce genre de séries mais qui est souvent plutôt raté. Etant [...] Lire la critique

Moins trash que Green green TV, moins attrayant que Love Hina, Amaenaide yo ! ressort le concept visité et revisité de l'anime ecchi - harem. Laissez moi vous faire imaginer la chose. Dans chaque épisode, Ikko, seul personnage masculin du monastère, se retrouve dans les situations les plus compromettantes pour lui ce qui a pour conséquence de lui valoir en moins d'un quart de seconde une punition expéditive à hauteur de son audace : un coup de poing monstrueux l'envoyant 4 fers en l'air KO sur place. Ca vous rapelle Keitaro et le poing de Narusegawa ? Ca ne doit être pas anodin ! Plus subtil maintenant, les jeunes filles [...] Lire la critique