Crayon Shin-chan

Crayon Shin-shan est un animé dont je n'ai pas, loin s'en faut, vu l'intégralité des épisodes. Je ne résiste cependant pas à l'envie d'en rédiger une petite critique, car c'est un animé qui m'a beaucoup marqué du temps où je le suivais quand il passait à la télévision. Ce dessin anime fait partie de ces séries qui peuvent se permettre le luxe d'un graphisme sommaire, car la qualité de l'écriture est telle que le graphisme n'est qu'un support sans trop d'importance. Sur ce point j'aurais envie de comparer Shin-shan à certaines séries américaines, parmi les plus illustres : les Simpson et South-Park. Rien de moins ! Donc une fois qu'on s'est habitué aux graphismes réellement [...] Lire la critique

Une question se pose après la vision de "Crayon Shin-chan": Que faut t'il pour qu'un animé soit bon voire parfait? Objectivement on parlerait tout d'abord d'excellents graphismes, d'un ost attachant, complexe et collant parfaitement à l'ambiance, sans oublier, une trame surprenante alliant personnages charismatiques, action etc… Malheureusement, "Crayon Shin-chan" n'a à son service que très peu de ces conditions : graphismes simplets, chara-design à la limite de l'exécrable et surtout aucun but précis dans l'histoire. Ça va surprendre certains (ou pas…) mais j'ai aimé cet animé peut être même plus que si j'avais rencontré l'animé parfait (si, si à ce point là.) car l'auteur de [...] Lire la critique

Apparemment, Shin Shan est plus connu ici en Espagne plutôt qu'en France. Je précise que pour ma critique, je me base sur le doublage en espagnol et non français. Graphiquement, les dessins sont pas fantastiques, voire pas beaux. Si vous passez ce cap, tant mieux! L'intérêt de cet animé réside essentiellement autour du personnage principal : Shin Shan ou Shinasuke Nohara qui a la langue bien pendue du haut de ses 5 ans. Au lieu de dire que sa maman est la plus belle du monde comme la plupart des gamins de cet âge, il n'hésite à la traiter de « vieille peau avec un gros c** ». Dès qu'il voit une jeune fille, il se la joue dragueur en proposant direct « Alors poupée, chez toi ou chez [...] Lire la critique