Un nanar de l'année 2013.
Ou comment gâcher du potentiel en pondant une œuvre sympathique. J'étais en mal d'animés. J'ai donc raclé les fonds de tiroir à la recherche d'une perle oubliée - oui, ça m'arrive de passer à côté, volontairement le plus souvent, pour garder pour plus tard, quand l'hiver animiesque est là, une pépite ou deux - les fonds de tiroir, disais-je, qui contiennent également les navets et les entre-deux. Kyoukai no kanata fait partie de ces derniers. C’est un animé qui présente un excellent graphisme digne d'un shōjo à se faire pâmer la gente féminine (les jeunes et les vieilles comme moi), de l'humour à biiiiiiiiiip pour faire rire les adolescents pré-pré-pré-pubères (je pense qu'après 7ans, [...] Lire la critique