« On dirait Totoro mais en moins bien et moins poétique »
Mamoru Hosoda avait pour lourde responsabilité de représenter le domaine du film d’animation à la cinquantième édition de la Quinzaine avec son dernier métrage, Mirai. La sélection de son film a indéniablement des raisons d’intriguer. Jamais Hosoda n’avait été choisi pour participer à la célèbre sélection alternative, et il n’est pas d’usage de désigner en première entrée des figures connues et reconnues du grand public. L’histoire du film, ou plutôt devrait-on dire trame narrative, se résume à un concept : celui de l’acceptation d’autrui, ici dans une sphère très particulière qui est la sphère familiale dure, du point de vue d’un jeune garçon, Kun, à l’occasion de la naissance de sa [...] Lire la critique