Du bishonen à l'état brut, un pur régal. Cette série a comblé pas mal de mes attentes en matière de shonen-ai, à commencer par un chara-design à tomber par terre, combiné à une animation vraiment excellente d'une incroyable fluidité, une belle histoire et le tout généreusement saupoudré d'une sublime bande-son. Une série presque parfaite en d'autres termes. C'est d'ailleurs assez rare que j'accroche aussi rapidement à une série. Les dix premières minutes du premier épisode m'ont suffit à me faire dire que j'allais adorer cette série, et je ne m'étais pas trompée car je l'ai engloutie en deux jours tellement je ne pouvais plus décrocher. L'univers de cette série est vraiment envoûtant et [...] Lire la critique
Uragiri wa Boku no Namae o Shitteiru
- Format : Série TV
- Année : 2010
- Titre original : Uragiri wa Boku no Namae o Shitteiru
- Nombre d'épisodes : 24
- Studio : J.C. Staff
- Réalisation : Sakurabi Katsushi
- Site officiel : http://www.uraboku.jp/
- Saison : Printemps 2010
- AKA :
- 裏切りは僕の名前を知っている
- Uraboku
Sakurai Yuki est une jeune homme au passé mystérieux. N'étant encore qu'un bébé, il a été abandonné devant les portes d'un orphelinat dans lequel il passe les années de son enfance.
Cependant, Yuki n'est pas comme les autres individus, il possède un pouvoir qui lui permet de percevoir les émotions des gens lorsqu'il entre en contact avec eux. Incapable de le contrôler, il commet souvent des erreurs. Aujourd'hui, sa vie risque d'être chamboulée par l'arrivée d'un homme revendiquant être son grand frère. Qu'adviendra-t-il de lui ?
Synopsis soumis par PetiteAkatsuki
- Studio d'animation : J.C. Staff
- Réalisation : Sakurabi Katsushi
- Chara-design : Matsûra Mai, Nakayama Yumi
- Idée originale : Odagiri Hotaru
- Musique : Kaida Shôgo
- Diffuseur : Chiba TV, KBS Kyoto, Sun TV, Tokyo MX TV, TV Aichi, TV Kanagawa, TV Saitama, TVQ Kyushu Broadcasting
- Composition de la série : Takahashi Natsuko
- Couleurs : Muranaga Maya
- Directeur artistique : Kakoi Hirotsugu
- Directeur de l'animation : Nakayama Yumi
- Directeur de la photographie : Iwai Kazuya
- Directeur du son : Aketagawa Jin
- Montage : Nishiyama Shigeru
- Nettoyage Animation clé : Acca effe
Souichiro Hoshi (Yuki Sakurai), Takahiro Sakurai (Luka Crosszeria), Akira Ishida (Kanata Wakamiya), Daisuke Ono (Hotsuma Renjou), Hiroshi Kamiya (Kuroto Hōrai), Houko Kuwashima (Tsubaki Shikibe), Jun Fukuyama (Tsukumo Murasame), Junko Minagawa (Elegy), Kana Ueda (Ashurei), Ken Narita (Isuzu Fujiwara), Kenji Hamada (Fuyutoki Kureha), Mamoru Miyano (Shusei Usui), Marina Inoue (Tôko Murasame), Momoko Ishikawa (Sodom), Nobuhiko Okamoto (Katsumi Tōma), Satoshi Hino (Senshirō Furuori), Sayuri Yahagi (Aya Kureha), Shinichiro Miki (Tachibana Giô), Shintaro Asanuma (Masamune Shinmei), Takehito Koyasu (Takashiro Giô), Yukana (Yuki), Yuri Amano (Ibuki Shikibe)
- Uragiri (Manga - 2005)
Critiques des membres
#Par Giggles le 01-11-2010
Je suis à peu près d'accord avec la critique précédente. (vais peut etre spoiler un peu) Ca sent le shonen ai à plein nez mais on sent quelques réticences à y aller à fond. D'où ma deception. Parce que tant qu'à faire des beaux personnages, des beaux mecs (d'un coté y a ceux qui sont virils et classes, de l'autre yuki, fille réincarnée en mec), tant qu'à parler d'amour toutes les secondes, autant y aller FRANCO. Et bin non, tout reste en surface. J'ai pas bien compris l'histoire en elle-même : les méchants ils veulent quoi exactement ...? En face de ça on a les gentils. Ils font equipe par deux, et s'aiment tous très fort. C'est bien mais ça ne sert pas beaucoup l'action. Yuki, [...] Lire la critique
#Par emilie le 15-10-2010
Uraboku, c'est du bon sentiment à foison. C'est un anime avec le bien d'un côté et le mal de l'autre. Avec des gentils qui sont ultra-méga gentils et donneraient leurs vies pour sauver le chihuahua de la mémé d'en face. Avec des méchants, super-méga méchants, de vrais démons qui peuvent tuer sans remords, mais qui, au fond d'eux-mêmes doutent un peu et recherchent l'amûûûûûr. Uraboku c'est aussi une haine du bien contre le mal qui dure depuis plein d'années. C'est une bataille qui a lieu à chaque génération quand tous ceux dont on a besoin sont finalement réincarnés. Dans Uraboku, il y a aussi une trop belle histoire d'amour. Y'a un personnage super-méga gentil qui représente l'empathie [...] Lire la critique