En direct du webzine Accéder au webzine »
En direct de la communauté Toutes les critiques anime & manga »

RE:MONSTER — « J’appelle tout adulte de plus de 25 ans qui regarde des isekais un demeuré » (Y. Moix)
Re:Cyclage Re:Monster est une série de light novels qui ont commencé à êtRe: publiés sur le net vers 2011, soit il y a pRe:sque quinze ans, et qui ont eu droit à une adaptation en manga à partir de 2014 soit il y a plus de dix ans, et dont la version anime vient d’êtRe: diffusée. Comme je dis souvent, méfiez vous... Lire la critique

L'amour, l'affirmation et la confiance en soi
Je prends un instant ce soir pour vous parler de cette œuvre somme toute classique sur certains aspects mais qui tire son épingle du jeu sur des sujets sensibles très bien traités. L'amour, l'affirmation, la confiance sont les 3 piliers de l'estime de soi. Et ici, notre héroïne va faire ce parcours très éprouvant... Lire la critique

Yuuko ou ma fascination pour elle.
Une énième critique de cette œuvre certes. Pour en avoir lues quelques unes, je ne répéterai en rien ce qui a été dit (juste une remarque sur l'habitude des autrices a péter un peu leur fin ou carrément à ne pas boucler leurs œuvres.) Moi j'aimerai vous parler de Yuuko. Yuuko Ichihara. La tenancière de la... Lire la critique

GIMAI SEIKATSU – Step by Step, oh baby, gonna get to you girl...
Gimai Seikatsu (Days with my Stepsister) est au départ un light novel de Mikawa Ghost, auteur qui évolue dans le milieu otaku depuis une dizaine d’années en écrivant des romans, des scénarios de mangas et même des jeux vidéos érotiques ultra confidentiels. Autrefois ce genre de profils n’intéressait pas trop... Lire la critique

LOOK BACK — Chacun son rêve, chacun son dessin
Look Back est un manga one-shot de Tatsuki Fujimoto, qu’il publia en 2021 entre les deux parties de son manga à succès Chainsaw Man. Même si Fujimoto avait déjà une réputation dans le milieu, la publication de Look Back à peu près au même moment que l’annonce de l’adaptation anime de CSM propulsa la notoriété... Lire la critique