Sous les supplications d'Allbrice, je me permet de poser une pierre sur cette édifice. Pardonnez tout d'abord ma fainéantise si caractéristique de ma génération, mais je n'ai pas lu du tout le sujet, considérant que depuis le 23 Août 2009, de l'eau a coulé sous les ponts.
Pour ma part, je voit en
Jigoku Shoujo une histoire intéressante, distillé au compte-goutte. Peu de personne apprécierons le procédé mais personnellement je le trouve intéressant.Pour ma part, j'en suis a l'épisode 23 de la première saison et je peux déjà tirer le constat suivant : à la manière d'
Higurashi no naku koro ni, le scénario nous est amené de façon a ce que le spectateur se pose de plus en plus de questions tel que la personnalité d'Enma, le lien qu'elle entretient avec Tsugumi ou encore les raisons de l'absence de la mère de Tsugumi.
Aussi,
Jigoku Shoujo dépeint un mode comme il est rarement fait. Toujours dans ces traits les plus noirs ou l'Homme n'a de but que sa satisfaction personnel au profit de celle des autres. Manipulation, chantage, raquette... Les thèmes ne manquent pas et, malgré cette critique de répétition perpétuel qu'on peut faire à l'anime,
La fille de l'enfer nous entraine dans la face obscur de l'homme, avide de pouvoirs pour les uns, et d'une "porte de sortie" (cf. Episode 20 -
Belle comme une poupée ) pour les autres.
En espérant avoir ravivé la flamme infernal qui éclaire ce topic...