CDG : Hier soir, je me faisais une joie de revoir Matrix Reloaded en Dolby Vision Cinema et tout le tralala... Des trois, c'est le film qui m'était le plus sujet à la nostalgie pure. Le revoir dans ces conditions, avec les confiseries hors de prix, ça frisait l'indécence. Puis, bam, l'image qui lag tellement que lors des scènes d'actions, t'as juste enfin de fermer les yeux et oublier où tu es ; ça tombe bien, tu es en mode allongé dans cette salle, parfait pour se croire dans une sieste room et rêver de ce que cela aurait été s'il y avait un gars, quelque part, qui s'était aperçu que cette copie numérique ne supportait pas la technologie moderne dernier cri... comme toutes celles qu'ils avaient sur son disque dur des merveilles. Enfin, j'ai eu l'occasion de voir un gars s'amener avec une télécommande, mettre l'image en pause comme dans mon salon, pour nous annoncer qu'il n'y pouvait rien et qu'il nous donnerait une place gratuite, comme à la bonne époque du projectionniste bourré de mon bled qui n'arrivait à cadrer l'image. Sur ce, il ne nous a pas souhaité bon film et nous a laissé devant une boucherie visuelle jusqu'à la fin. R.I.P.