Avendil, j apportion une precision, Je constate que les programmes scolaire sont toujours à la traîne quioique les travaux que j ai lu date de moins de dix ans.
Pour Mir, jolie digression et argumentaire vide et non étayé.Einstein n'a jamais travaillé sur une loi unifiée afin de prouver l'existence de Dieu. son travail fut orienté car sa théorie de la relativité à énormément d'implications sur le fonctionnement de l'univers à l'échelle macroscopique mais se heurte à des problèmes d applications à une échelle quantique. Il ne s'agissait pas d'une quête mystique.
Pour le contenu des textes sacrées, pour la bible, je passe, rien des théories actuelles ne transparaît. Pour le coran, ce sont des corrélations tirées par les cheveux, sachant qu'au niveau géologique on peut aussi faire une lecture qui concorde avec la théorie des geosynclines. Pour les non initiées, il s'agit de l'ancien modèle boiteux et incohérent qui fut remplacé par la théorie moderne de la tectonique des plaques.
Pour revenir sur la question de la croyance chez les scientifiques, oui elle est présente d'une part car il s'agit souvent du socle identitaire de la personne mais aussi parfois d'une démarche de contemplation et d'humilité de la part de ce dernier. J'ai suivi mon cursus universitaire dans une section de l'université catholique de Paris, section qui jure un peu car dédiée à la géologie et paléontologie, fondée par un abbé et qui fut dirigé pendant mon temps par un chercheur détaché du CNRS. Fervent croyant et paléontologue, il nous a donné ses cours sans jamais faire de digressions ni de prosélytisme. Il a toujours évité avec soins ce débat dans ses cours car il s'agit d'une question plus personnelle que scientifique.
La seule chose qu'il nous est transmises apres ses cours sur le vivant et l'évolution, c'est que face a la somme des obsevations, du connu et de l'inconnu, le chercheur se trouve face à soi et tire ses conclusions personnelles. Lui il a choisi de croire, mais toutefois sans y appliquer un filtre absolu. D'autres y trouventdes raisons pour un athéisme, parfois éclairé parfois aussi aveugle que celui des croyants qu'ils fustigent.
Pour ma part, je suis un effroyable mécréant trop absorbé par les vanités du monde pour y mettre beaucoup de temps et de pensées et je me leurre forcément dur ma propre ouverture et lumière sur ces sujets.