Bon je repasse vite fait.
De plus vu que vous balancez des pavés qui font suer à lire, j'ai pas encore lu les derniers posts mais je vais perdre ce que j'ai envie de dire. La puissance des mots est importante comme le souligne Alice, à chaque lecture il me frappe et modifie sensiblement ma pensée.
Donc dans un premier temps YdS d'avoir sauver les maths. Car s'il y a un bien truc carré et réel dans ce monde, c'est bien les mathématiques. Le reste c'est sujet à bouleversement en cas de découverte chamboulante, les maths non. Encore plus à notre époque où si un postulat est énoncé, les gens se sont déjà occupé de prouver qu'il n'était pas faux. Et en mathématique, prouver que c'est n'est pas faux c'est montrer que c'est vrai. Pas de contre exemple, par contraposée, par l'absurde, y a d'autre moyen d'affirmer la vérité (des maths, c'est un monde idéal un peu les maths). Alors oui la preuve, propre, ne sera peut être pas trouvé du temps de l'énoncé, manque d'outil etc, mais en tout cas ça bouge pas. C'est la total objectivité. Bon c'était sur les maths. Pour ça que les mecs ont leur donne des médailles field et qu'après ils glandent que dalle du reste de leur vie. Trop fière d'eux, ils savent qu'ils ont atteint le max.
Je m'égard. Mais je voulais juste revenir sur un point intéressant qu'Alice a souligner, sur la lutte tout ça, en particulier contre le racisme ordinaire, donc par extension les discrimination ordinaire. Donc, vu que tu es montée au créneau, tu as considéré, Alice, que ce passage de la critique en faisait partie. Donc que s'était une forme de banalisation et qu'il fallait le signaler.
En cela je reviens sur le passage de la critique. Dont je trouve la deuxième version plus dérangeant que la première en fait, car justement elle peut être assimilé à de la discrimination ordinaire. Car il n'y a plus de justification personnel de la non appréciation de cette séquence clé comme l'a souligné Insidu. Justement dans la première, l'auteur Tyra, exprime son malaise et pense que c'est un défaut et se rattrape en disant que cela doit venir de son homophobie latente. Donc il n'a pas apprécié ce passage car il y a un problème, intérieur. J’interprète, j’interprète. Et donc se remet en question. D'après la définition au dessus, l'homophobie peut être désigné par de la peur et de l'aversion. Considéré un passage qui montre explicitement des relations homosexuel comme un mauvais choix de récit, un mauvais passage, en être malaisé ça rentre dans les critère d'une homophobie je précise bien latente. Donc le signaler dans sa critique, pour simplement dire je n'ai pas aimé ce passage car à ce niveau là je dois avoir un problème. C'est en fait plutôt honnête de la part de l'auteur. A ce moment là l'auteur se dénigre. Après oui les mots ont leur poids, et les gens ne savent pas bien lire, et seul un mot ressort, le contexte, le contenu s'efface et on peut lire la phrase avec le sens que l'on veut. Que l'on peut interpréter. L'utilisation de terme comme l'homophobie est délicate, car justement certain monte au créneau si on se foire, ils ont de nobles intention ou pas, mais en tout cas ça fait du bruit si on s'y prend mal. Je suis professeur, chaque mot que je sors de ma bouche est repété par les gamins, il m'apprécie un minimum donc mes paroles ont du sens. Souvent il me demande d'ou de quel origine je suis. Un jour je leur ai répondu que j'étais un citoyen du monde. Car oui c'est ce que je pense être et je savais le poids que je portais dans cette phrase, donc consciemment j'ai voulu l'imprimer dans leur esprit. Ce que je veux dire par là. C'est comme le signal Alice, les mots peuvent briser des montagnes. On dit l'acte plus que la parole, mais les mots ont parfois bien plus de poid et feront autant de bonheur et de mal que des actes concrets.
Mais je trouve que cette hargne qui s'est déchaîné sur Tyra n'était pas saine. Parfois sur le topic "vos critique", les commentaires sont virulents, implacables. Si je devais faire une métaphore maladroite et peu élogieuse, c'est les vautours qui repèrent des carcasse pour se faire plaisir. Rien que l'immortalisation des pires critiques pour qu'elle reste dans la "postérité" est une forme de mépris. Même si j'avoue c'est fun. Les humains aiment rire au dépend des autres. Nous somme tous un peu cruel. En cela que l'intervention de Red avec qui je suis pas toujours d'accord était ce qu'il y avait de plus sains.
Car globalement à vous lire. Vous êtes tous d'accord, mais l'opposition est stimulante. Faut l'avouer ce fun de débattre, vous balancez de la citation de grand monsieur, moi j'apprend. Mais il faut pointer ce qui va vraiment pas. C'est le sujet débat, je l'ai déjà, la plupart des choses discuter ici sont inconséquente, car rare sont ceux qui vont relire 20 pages avant pour savoir de quoi ça a parlé et y apporté une nouvelle pouce ou un avancement. Une fois le flux tarie, l'affaire est quasi enterrer a part pour deux trois revanchard (j'imagine, je viens pas souvent ici). La c'est qui n'allait pas, c'est la façon, la manière, c'est bien de vouloir lutter mais on fustige pas les gens sur un coup de tête et on lit bien la phrase et on essaie de comprendre un peu l'auteur avant de le pousser sur l’échafaud. Ca gagne du temps. Ca s'était presque méprisant

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Mais bon, c'est fun les débats.
Edit : Damned j'ai fait un pavé...
Edit 2 : Damned chais pas écrire...
Edit 3 : Un dernier truc sur ce que dit Maya plus haut. Oui les gens doivent s'exprimer, même la plus mauvaise pensée pour pouvoir être corrigé, éduqué etc... C'est l'ignorance et la peur qui font le mal de ce monde. Et c'est pas nouveau. Mais une idée est plus néfaste, une fois exprimé elle se propage, se réinterprète se rapproprie. Je ne sais pas si tout le monde doit être entendu s'il n'y a pas personne pour réceptionner et contrer sans agresser, démontrer le faux. Certaine personne sont dangereuses, charismatique, quand elle parle elles font du mal. Pour cela que la censure existe et se doit d'être appliquer contre les propos haineux et discriminatoire. J'en reviens aussi à banalisation de tous les termes que tu as cité. On dit qu'il y a une libération de la parole raciste. Moi même je le ressens, les gens se font plaisir sous couvert de la liberté d'expression. Et cela est dangereux car ça banalise et en cela je suis en partie d'accord avec Alice. Mais ce n'est pas le cas présent (le cas de Tyra). Le racisme quotidien, ou la discrimination (j'englobe tout dedans, homophobie, racisme, misogynie etc...) quotidienne existe et une fois qu'on y est éveillé, sa présence est terrible de réalité. Et lutter contre n'est pas de tout repos . Se battre constamment rend parfois hargneux. Voir fanatique et donc les nobles intentions en sont dilués voir perdu..