La remarque a déjà été faite auparavant mais Sephi franchement fait gaffe à ton orthographe et ton langage. Le sms n'a pas cours ici ou sinon je t'envoie un AngelMJ en furie te manger tout cru O_O (incroyable cette technique de dissuasion .. à faire breveter
)
Synopsis (du site, dsl j'ai la flemme de la faire ^^):
Visiblement certaines personnes ont eu moins de flemme que toi (en l'occurence moi et merci d'avoir cité mon nom au passage)
Pour en revenir au sujet du topic, Afro samurai c'est pas trop mal sans être fantastique non plus. J'en ai pour l'instant vu 2 épisodes et autant le 1 m'avait encouragé à suivre la série, autant le 2 est bourré d'une multitude de détails qui me font avoir des regrets quant à la série.
Je m'explique :
Episode 1, épisode "on pose l'histoire". Graphiquement très joli, l'animation des scènes de combat est nickel avec des bras et jambes coupées en veux tu en voilà ... Comme dans Samurai Champloo, la production joue sur l'anachronisme pour interpeller le spectateur ça fonctionne plutot bien. Les persos sont plutot bien reussis, j'ai un petit faible pour le black avec les lunettes de soleil qui fait vraiment "babacool sorti de sa banlieue".
L'histoire est principalement tournée vers un désir de vengeance qui conduit au maximum de castagne possible. Donc c'est comme Black Lagoon, on sort le petit coussin, on pose gentiment le cerveau dessus et il attendra la fin de l'épisode pour reprendre son activité
Maintenant qu'est ce qui ne colle pas dans Afro Samurai. L'épisode 2 le confirme c'est bourré de fan service >_<. Des scènes de femmes dénudées, du sur-gore , une intrigue avec des ficelles tellement grosses que cela en devient assez lourd. C'est mon impression perso mais la qualité du 1 a disparu pour laisser la place à du très médiocre.
Je suis plutot déçu à l'issue du 2ème épisode car déjà lors du premier épisode, je me demandais comment ils allaient faire tenir l'histoire en 5 * 25 mn. Là vu qu'ils viennent de pourrir le 2 ça laisse 3 derniers OAVs qui vont être fortement remplis. J'ai le pressentiment que tout va finir bâclé et bourré de scènes inutiles. L'avenir nous le dira.