J'utilise les deux. C'est vrai que le "je" est plus direct, c'est un parti-pris, un engagement. Mais j'estime qu'en signant la critique que l'on fait, même si c'est avec un pseudo, on prend déjà parti (tu vois, déjà le "on" est de retour). Après cela devient une limitation de l'expression. J'avais déjà eu ce problème avec une directrice de recherche dans un tout autre cadre qui ne voulait pas voir de "on" mais plutôt du "nous", "il", etc... Parce que le "on" est impersonnel. Je veux bien, mais il existe dans la langue française.