Et voilà, j'ai plié Darker Than Black saison une.
Je l'ai commencé sur un coup de tête, car je le voyais souvent passer sur le site, donc voilà. Eh bah... eh bah... que dire... C'est un anime moyen/bon pour moi.
Le début ne m'intéressait pas vraiment, y'avait pas mal d'erreurs qui me gênaient (Mais... mais l'OST des premiers épisodes quoi ! C'est absolument pas ce à quoi je m'attendais dans un anime qui s'appelle Darker Than Black !), et je sais pas pourquoi, j'ai ressenti comme une amélioration graphique à partir de l'épisode 6. ça l'a fait à quelqu'un d'autre aussi ?
Dans l'ensemble, DTB, ça s'apprécie surtout pour le perso principal, Hey (pardon, Hei), personnage selon moi, bien amené, et même au niveau graphique. Qui l'eut crû qu'on puisse faire des yeux d'un personnage récurrent en seulement deux couleurs sans pour autant qu'il soit malade ou quoi ? ça fait vachement regard vide, ou alors dépourvu de vie, et ça donne des scènes spéciales dans certains moments. J'ai bien aimé.
Je trouve que l'animu s'améliore un petit peu progressivement, malgré tout qui peut finir sur une fin... sur une fin... oui j'insiste, sur une fin... sur une fin... bah on s'attend pas trop à ça quoi. Après, à mon goût j'ai trouvé ça trop condensé. Peut-être fallait-il l'étirer un peu plus.
Je ne regarderais pas la saison 2 car cette fin me convient largement. J'ai trouvé original le format des histoires 2 épisodes par 2 épisodes d'ailleurs. Des personnages bien trouvés aussi, sans trop de clichés/stéréotypes, ça fait plaisir. J'ai pas trop aimé l'opening et l'ending.
Le certain côté un peu "transmission de messages" qui peut passer inaperçu... Parce que mine de rien, ça démontre certains trucs, je préfère le mentionner pour pas qu'on pense que je l'ai trouvé sans réel fond.
Voilà, j'ai fini mon topo, pardonnez le petit bloc pas trop organisé, je viens de regarder la fin y'a dix minutes, je m'étais mis en tête de faire un petit récap j'aime/j'aime pas de la série sur le topic (comme à mon habitude).
Anime à regarder quand on a (trop de) des nuits de libres.