Ta citation m'as tout l'air d'une vérité de comptoir
... le toujours utilisé avec tant d'assurance me dérange beaucoup et en plus d'où elle vient ta citation?
Sinon je trouve que le comportement des perso en lui même n'est pas aussi gratuit que cela puisque School Days essaie un peu de montrer jusqu'à quelles extrémités (
), jusqu'à quelles compromissions (
trahisons, acharnement amoureux sur un connard ... etc.
) peuvent aller des filles par amour ..... c'est d'ailleurs pour cela que je trouve que tu as raison en disant qu'il ne faut pas trop se focaliser sur Makoto ... même si d'autres pourraient rétorquer "mais justement on imagine pas des filles aller jusque la pour une larve pareil", ceux à quoi j'ai déjà essayé de répondre dans mes posts précédents. D'ailleurs puisque l'on pose la question du jusqu'où, on doit bien comprendre que les situations décrites seront nécessairement extrèmes et ce n'est pas parce que quelqu'un pense que les évènements et leurs enchainement ont une certaine crédibilité qu'il pense nécessairement que c'est la règle dans notre vie ... "c'est bien un cas extrême" même si les perso au début sont "normaux" (d'ailleurs l'anime commence de façon très classique et commune aux animes du genre avant de s'en éloigner justement pour mettre en scène cette normalité, cette innocence qui va déraper) ... la pire possibilité de l'éroge d'origine peut-être
Maintenant si on ne conçoit pas que des personnes amoureuses ayant atteint "leur point de rupture" peuvent aller jusque là, s'éloigner autant de ce qu'elles étaient c'est sur qu'on ne verra en School Days qu'un recueil d'insanités et qu'on se rabattra sur le jugement de la morale des persos présentés à travers leur seuls comportements ... genre "si telle à trahi sa copine et s'est donnée à celui-ci c'est qu'elle est perverse, hypocrite et le pire c'est qu'elle est encore lycéenne" ... il y a aussi la possibilité de faire un blocage sur l'insignifiance de l'être aimé Makoto
School days à mon avis est une œuvre qui ne manque pas de caractère et de fond. Je vous dis tout cela avec du recul car la première fois que je l'ai visionné, j'ai effectivement ressenti ce malaise. Alors serait-ce du à cela que certaines personnes la considèrent comme entièrement licencieuse ?
Effectivement je trouve que ça ne manque pas de fond ... moi aussi j'avais ressenti une sorte de malaise
le plus grand est peut être quand on voit Kotonoha se donner passivement au copain de Makoto juste après avoir chutée de haut en voyant makoto danser avec sekai et que ses illusions et son acharnement à ne pas voire la vérité s'effondrent avec ... ça contrastais énormément avec la Kotonoha du début et ça m'avait semblé un sommet de désespoir amoureux ... voir koto se donner au premier minable s'était dérangeant et très triste