Il ne faut pas écouter PanzerFaust et les mauvaises langues
(<- n'en fais pas partie)
Le côté innovateur, évidemment, on le laisse un peu de côté et ce n'est de toute manière pas ce que je recherche dans ce genre d'animé (ceci dit, je ne refuse pas le bonus). Je ne pense pas que ce soit le but revendiqué non plus, même si pour moi, elle se démarque un peu des autres comédies - romances du genre.
Il y a toutefois quelques prises de décalage plutôt bien senties et pas désagréables. Je ne saute pas non plus au plafond ; mais on apprend très vite que concernant le type pour qui en pince l'ours de la Taiga, ben, que par le passé, elle a merdé comme il fallait. Je spoile pas, mais j'ai trouvé ça très con (dans le bon sens).
Pour l'autre espèce de Steven Segal aux multiples expressions faciales, ça semble aussi mal engagé... Le contraste d'ailleurs avec la tête de rat mort et la fille pimpante et fraiche est "comique" (oui, je modère mes propos quand même, n'exagérons pas non plus).
Bref, c'est centré sur leurs histoires de cœur et oui on retombe dans les clichés du genre avec les sorties habituelles, etc. Oh diantre, aussi un festival ? Bah ouais, en même temps, une vie de lycéen, et une action centré sur le lycée, difficile d'innover à moins d'inclure des éléments fantastiques.
[Quoique, le voyage qu'ils font est assez 'fun']
Et puis au fur et à mesure, on en apprend plus sur les personnages et rien ne me paraît trop superflu ou déplaisant.
Enfin bref, si on sait apprécier ce genre, je vois mal les critiques que l'on peut formuler à l'égard de l'animé. Et les même clichés, quiproquos et j'en passe, alors ? On en retrouve... De même que dans cinq ans, on risque d'en retrouver (et l'effet "répétition" sera encore plus garanti O_O').
Je n'interdis pas de critiquer hein
Mais
Toradora! reste un bon divertissement dans le genre, je pense.
P.S: je pense aussi faire une théorie sur "le moment où l'on regarde un animé et notre état d'esprit dans lequel on se trouve déterminent-ils notre façon de le juger ?"
Sapristi, il se fait tard. Et je n'ai encore dis que de la merdouille.