Mon avis c'est que si Fairy Tail fonctionne, c'est parce que c'est direct. Dans presque n'importe quel autre shonen, un combat final dure 5 tomes, fait des détours incroyables, inserte 2 ou 3 flashbacks de plusieurs chapitres, nous montre le désespoir absolu, et finalement, ils battent le boss. Ici, ça se fait a un timing bien plus léger, en 2-3 chapitres maximum, sans gros détours, et avec un rythme stable et excitant.
Ce n'est certes pas développé, gavé de stratégies et de pièges, plein de rebondissements farfelus, mais on ne s'ennui pas. Et ça, c'est vital.