Le problème, c'est que la philo apparait comme un OVNI en terminale, puis laisse ensuite un arrière goût amer aux scientifiques plus préoccupés par une réussite d'un autre ordre. Et pourtant, elle est essentielle. En quoi un peu de réflexion sur l'Homme, ce que vous êtes, est vain?
Cela ne soignera effectivement pas des maladies ; même si le cas des maladies psycho-somatiques reste pourtant un cas découlant d'une des branches de la philosophie.
Est-ce parce qu'on y voit pas de résultat concret, mesurable (ça reste à prouver), que c'est inutile et optionnel? Vous savez, la banale remise en cause, c'est un problème philosophique : s'interroger soi-même. Le doute, c'est philosophique. Et cela fait aussi parti du travail d'un scientifique des sciences dites 'dures'.
Et cela, c'est la philosophie du lycée qui vous en apprend les bases; à travers certains auteurs... Mais effectivement, on est loin de toucher l'essence de la philo, ou d'en cerner tous les contours. Sans compter les profs qui donnent pas envie, je compatis. Après, pour le reste, cela nous ouvre les clés d'un nouveau monde ; et puis cela relève beaucoup d'une démarche personnelle ou d'une poursuite d'étude dans cette voie.
Et c'est aussi une question d'époque. On est dans un monde où tous les mystères sont percés par la science ; la science est notre religion. Alors vous pensez bien, la philo...
"Oh mais on a rien contre la philo en L..." Oui, oui, je vous crois ;].
Rah... lala.
P.S: ce message a été rédigé il y a une heure et c'est en voulant fermer mes 10 fenêtres mozilla que je me suis aperçu que j'avais pas appuyé sur le bouton "soumettre"; soit, désolé si ça reprend du Jevanni panzanni; je suis tellement HS que je lirai ça demain.