Je trouve personnellement davantage de parentés avec Yurikuma Arashi, au premier abord, qu'avec Mawaru : on peut attendre en effet une forme de tribunal/force de justice/police, un discours sur l'animalité, on retrouve aussi pas mal de codes esthétiques (jeux sur les mains, le pont, etc.) qu'Ikuhara a beaucoup poussés dans Yurikuma.
Mawaru, c'était avant tout l'histoire d'une famille et des formes d'amour qui gravitent autour. Ici, a priori pas de trace de la moindre famille, pas de trace non plus de la maladie (au sens propre comme figuré), etc. Bref, les parentés ne sont pas extrêmement probantes (d'autant plus que les kappas, si tu les voyais comme des pendants des pingouins de Mawaru, n'ont pas du tout ce rôle de "simple" running gag : ils semblent des personnages à part entière).
J'ai juste envie de dire : laissons faire Ikuhara, le bonhomme nous a déjà assez montré que lorsqu'il entreprend quelque chose, c'est qu'il sait ce qu'il fait.