J'ai repris la lecture et me suis arrêté au chapitre 54...
L'histoire est en train de virer sensiblement au pentagone sentimental
mais elle a le mérite d'être à la fois drôle, sérieux mais aussi ennuyante.
* Ennuyante à cause d'
Haruto qui me fait penser à
Ryuuji (
Toradora!) mais en mieux... A force de nous montrer ses monologues intérieurs sans qu'il n'agisse réellement, cela devient un peu lourd car la conséquence c'est qu'il ne donne pas l'impression de savoir ce qu'il veut ou fait et demeure ainsi incompris auprès des autres personnages. Après, serait-ce l'effet désiré d'afficher un "surplus" d'indécisions à cet âge par l'auteur... ?
* Drôle parce que la fille aux lunettes,
Kikukawa, est franchement tordante à travers son attitude, sa timidité qui cachait un personnage franc ainsi que la pseudo-relation sérieuse qu'elle a générée
Himuro, un camarade de classe du héros vient se marier à cette derrière trimbalant dans son sac quelques paroles moqueuses et quelques fois aussi la sœur ainée du héros...
* Sérieux car introduit principalement par
Kanzaki (la fille). Ce personnage fait plaisir à regarder car elle est réfléchie dans ses actes, posée et l'échange qu'elle avait eu avec
Haruto avait le mérite d'être vraiment tendu.
C'est super simple comme mise en scène mais efficace
Elle lui donne sa position et lui demande en retour ce qu'il attend d'elle sans tourner autour du pot après moult chamboulements
D'ailleurs c'est assez frappant de voir comme cette situation pèse sur elle, qui veut avancer ou passer à autre chose mais quand elle voit l'autre, ça nous donne l'impression qu'elle va s'enflammer à cause de...
Pour conclure, il reste les ambigus et intrigants
Eba et
Kanzaki (le garçon) dont les comportements sont loin d'être saisissables.