El Cazador 9 : Que voilà un sacré concentré de niaiseries en 20 minutes. Ca m'a tellement fait rire vu le degré de ridicule, que je ne peux résister au plaisir de vous le raconter. Alors, d'abord, on a droit à une philosophie dans le plus pur style Shadok "on ne sait pas où on va, et encore moins comment ni pourquoi, mais on y va et tout droit" et l'autre de répondre "yes sir" ...
Ensuite deux nouveaux personnages (dans la catégorie "on ne les a jamais vu avant et on le verra plus jamais ensuite, ce qui est un moindre mal vu que de toute façon ils ne servent à rien") "égaillent" cet épisode :
l'une est une jeune fille qui creuse toute seule dans la mine vêtue de ses plus beaux vêtements (c'est plus confortable, vous comprenez). Je ne sais pas ce qui était le plus pénible en elle : le fait qu'elle soit une cruche de première catégorie, sa manie énervante de s'excuser tous les trois mots ou bien les magnifiques dialogues qu'elle nous sort. Exemple : le méchant (voir plus loin) cherche à les emmurer vivantes et bien, que fait la demoiselle, elle creuse derechef : "parce que papa, il m'a dit de creuser" >_< Et à la question "et ça t'ennuie pas de faire que creuser toute la journée dans une mine abandonnée à côté d'une ville déserte ?" de répondre "oh, à l'université, j'avais pleins de cours et je ne les trouvais pas ennuyeux du tout" >_<bis
l'autre est le "méchant". Il est ridicule à souhait et son sort est réglé en deux secondes. Nadie tire, il meurt, fin. Lucky Luuuuke. Je ne sais pas ce qui est le plus ridicule : ses cheveux violets, son casque audio disgrâcieux, l'air vachement méchant qu'il prend alors qu'il est risible, le manque total d'info pour expliquer pourquoi il cherche à tuer à les héros ou bien la somme de tout ça.
Il faudrait trouver un arbre assez haut et une corde assez solide pour pendre le membre du staff du projet qui a osé proposer ces deux personnages.
Bilan : intérêt de l'épisode en lui-même : néant, intérêt pour la suite de l'histoire (de la quoi ?) : néant². Faudrait peut-être arrêter de se foutre de notre gueule.
Je sens que je ne vais plus tenir longtemps et que je ne vais pas pouvoir m'empêcher de descendre la série dans une critique teintée d'un brin de sarcasme.
Dennô Coil 4 : Après l'effort, le réconfort. Une série qui m'emballe vraiment. Il s'y passe des tonnes de choses, les personnages sont attachants, l'ambiance est réussie et le dessin rend bien. Que du bon