Tu as déjà une aide bien appréciable avec le post précédent.
Personnellement je voulais m'attaquer au problème qui me semblait facile des références concernant l'auteur. Je me suis dit "Internet est mon ami, il connaît tout". Et bien en fait non, Malaurie il connaît pas plus que ça...
En ce qui concerne les droits, tu es dans le bon pays en tout cas.
Déjà la notion de droit me fait constamment penser à celle de devoir de laquelle elle me paraît indissociable car l'un va avec l'autre.
Mais concernant l'excès de droit qu'il peut exister en France, l'exemple qui me viendrait le plus rapidement à l'esprit est celui des aides sociales. Et c'est une pente relativement glissante donc je vais tenter de rester quelque peu évasif et juste tenter de définir les pistes auxquelles je pense.
Dans notre pays, être marié, avoir un ou plusieurs enfants, avoir un logement ou encore être chômeur donne des droits relatifs à l'argent. En cumulant certains droits entre eux, on en vient à des situations que des personnes perçoivent comme des excès. Ces droits, pris un à un, ont tous été donné dans un but précis mais forcément, il y aura toujours des personnes pour en abuser et conduire à ce qui peut s'apparenter comme une injustice pour certains.
Après, si on veut se rapprocher de l'actualité, on pourrait parler du droit que l'on a d'être français, avec tout ce que ça implique, lorsqu'on est né en France. Apparemment, certains penseraient que cela est un excès puisqu'ils voudraient(ont?) changé cela en devoir. C'est ce qu'implique de pouvoir perdre sa nationalité, le droit de naissance n'existe plus.
Sinon, aux États-Unis, la scientologie par exemple possède les mêmes droits que les autres religions alors que certains voudraient l'interdire la considérant comme une secte.
Dans beaucoup de pays, il existe encore le droit pour un tribunal de décider de la mort d'une personne. Excès ou pas ?
En Chine, le droit empêche les familles d'avoir plus d'un enfant.
Au niveau absurde, dans un état d'Amérique, un homme a le droit de frapper sa femme une fois par mois...
A vouloir régenter toutes les situations par un droit qui lui est accordé et une loi qui est associé, on est vient certainement à un excès quand certaines se heurtent entre elles ou sont inapplicables, comme dit précédemment. Mais d'un autre côté, il faut bien donner une limite au droit de chacun.
Peut-être que je suis totalement hors-sujet, j'espère quand même avoir écrit ne serait-ce qu'une chose intéressante (ça pourrait très bien être ce qu'il ne faut pas dire pour être hors-sujet).