Je sais pas vous, mais j'ai l'impression que Dark Maou a perdu le match pour cette fois
Battu par un enfant de 5 ans...la honte lol Un chapitre avec de bons ascenseurs émotionnels qui m'a furieusement fait penser à Star Wars. Tantôt Kyosuke semble abaisser ses défenses face à la naïveté de Tsubaki, tantôt c'est l'inverse avec ce FDP de Maou qui a osé torturer cette pauvre fille. Jusqu'au bout, j'ai vraiment cru que c'en était fini d'elle et qu'elle allait devenir le padawan de notre anti-héros, mais le coeur d'artichaud que je suis est content que tout finisse bien
Le thème central de tout l'arc est sans doute :
"chassez le naturel : il revient au galop". Ca vaut pour les deux protagonistes.
Je commence à comprendre ce que vous voulez dire pour le choix des routes : c'est une sorte de choix logique qui s'insère naturellement à chaque partie du scénario. Je commence à penser que le jeu a deux thèmes : Maou vs Cheveux-Trop-Longs et Kyosuke lui-même. Là je vais attaquer celle de Tsubaki parce que je prends un malin plaisir à voir l'univers mental de Kyosuke s'écrouler progressivement sous l'effet de cette fille. Peut-être que les autres routes sont à cent lieues, mais moi je ne vois pas grand chose à reprocher jusqu'ici. J'ai adoré la sophistication de Maou qui arrive quasiment à se faire passer pour un gentil, ou en tout cas maîtrise parfaitement l'art du diviser pour mieux régner. De toute façon, je vois gros comme une montagne que le thème de la rédemption (très Starwarsesque encore une fois) va être au coeur de la route. Mais comme le scénario me surprend sans cesse en déjouant tous mes pronostics, ça peut finir tout autrement. Seule certitude : Papa va sortir le martinet.
J'ajouterais que pour une fois, un bad end où tout le monde meurt ne me déplairait pas si la romance est bien gérée. Sans doute parce que je n'arrive pas à pardonner Kyosuke pour certaines choses qu'il a fait et que je rêve secrètement qu'il paie pour ses péchés, qui sait. Bref, je prie pour que Kyosuke s'humanise enfin : il commence vraiment à me taper sur les nerfs avec son double jeu où on en vient au point de se demander s'il n'est pas limite pire que le vrai Maou. Je préfère même son père qui a au moins le mérite d'être honnête avec lui-même et franc du collier, c'est dire. Entre un faux et un vrai méchant, je préfèrerais toujours le vrai méchant.
Sinon je suis vraiment lent à la détente. Je viens de réaliser que l'OST est à base de reprises de classiques du XIX° siècle. Une vraie merveille à entendre : le classique, ça ne vieillit pas et ça marche toujours pour mettre dans l'ambiance.
Monsieur le yakusa, vous remontez dans mon estime et lisez dans mes pensées =o