La politique japonaise est, toute façon, pourrie jusqu'à l'os. Et aidé par les médias ! Je me souvient d'un premier ministre japonais, fraichement élu, qui repris les liens diplomatiques avec la Chine. Révolution donc. Ce même ministre devra abdiqué deux mois plus tard suite à un scandale financier vieux de plusieurs années.
En gros, si tu essaies de changer quelque chose dans la politique japonaise, tout le monde cherche le moindre point noir dans ton parcours pour te forcer à la démission. C'est malheureux à dire mais à ce point là, c'est inchangeable.