Pour commencer
Mawaru Penguindrum, il faut être dans "le bon esprit" pour en apprécier la globalité et surtout éviter l’enchaînement d'épisodes, sinon il y a un risque d'overdose visuelle. J'avoue avoir fini d'une traite la dernière partie, tout en étant persuadé de ne pas complètement « digérer » l'ensemble.
Dans cet anime, on voit le travail pointilleux, peut être trop exubérant pour certains, mais l'aura et la symbolique de certains « effets » ont su me transporter. Il y a tellement à décortiquer que cet anime mérite plusieurs visionnages. J'aimerais vraiment que d'autres productions pensent plus souvent à partir dans cette optique.
L'intégration des manchots est vraiment sympathique à regarder. C'est un joli défilé du
« moi/ça/surmoi ». Je ne vais pas m'étaler là dessus, mais seulement dire que de mon point de vue, les personnages, leurs névroses (et pour certains psychoses) forment un ensemble cohérent avec leurs histoires et leurs manchots. C'est donc pour moi, un vrai régale à suivre du début à la fin.
Puis tout comme
Princess Jellyfish qui parlait des méduses, je me suis emballée, un court moment à m'informer sur les manchots.
Ma p'tite curiosité était pour savoir si les auteurs de
Mawaru Penguindrum n’avaient pas aussi travaillé le choix de l'animal. Mais hormis les caractéristiques physiques des animaux, il n'y a rien de spécial.
(j'ai le droit de rêver)Petit exemple de manchots :Même si cet anime n'a pas fait « un carton », il a le mérite d'avoir été conçu de façon « sérieuse » et de ce fait, force le respect.