Raaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! Bon sang je sais pourquoi je voulais attendre la fin de la saison pour m'y coller. Mais voilà, pour le bien du webzine je me sacrifie. Et si je tiens l'enfant de salaud qui a storyboardé ce sixième épisode, je lui enfonce des morceaux de bambous sous les ongles. Un cliffhanger de bâtard, des stock shots, un scénario impossible
alors qu'on sait que Seirin va perdre ou en tout cas, pas gagner, sinon le bad guy introduit ne servira à rien. Et pourtant on est tellement pris dans l'action qu'on veut y croire pour être encore plus frustré la semaine prochaine. 'foirés !
Bref, je déteste cette série et je l'adore. Cette saison 2 tient vraiment toutes ces promesses ; le temps des introductions est globalement passé, y'a un peu de power-up dans l'air (pas trop) et surtout de la testostérone qui suinte dès le coup d'envoi maintenant que Seirin n'est plus regardé de haut même par les meilleurs. Je vous dis donc à dans 5 mois. Ou avant si je craque. En fait j'en peux plus, achevez-moi.
Y'a trop de séries sportives cette saison, je ne peux pas encaisser une telle dose d'
awesomeness.