notamment avec la mode croissante du loli-pedo-moe.
J'ai toujours trouvé étrange que tu mettes Wata-web de côté pour ré-utilisé leur terminologie dès que l'occasion se présente. x]
Le réel problème, c'est que ça devient populaire. Ces fameuses brebis galeuses, c'est voué à rester dans des cercles fermés. uUn
don't ask, don't tell implicite et totalement justifié. A la base, le hentaï, guro et autres joyeusetés, ils restent dans leur coin. Pour trouver, il faut chercher. "You've been warned", ça résume bien la chose.
Par contre, si ça commence à être diffusé à la télé, y'a un problème. Encore plus si on te balance un anime de cul censuré pour faire grimper les ventes de DVD. C'est pas seulement malsain, ça induit aussi une sorte de degré d'accéptibilité dans le joyeux domaine des horreurs. Sans aucune dépréciation, Ce qui nait dans le caniveau meurt das les égouts.
Maintenant, aller chercher les publics de niche de cette manière, c'est la conclusion logique d'un système qui se base sur son public. S'ils veulent des lolis, on leur donne des lolis, s'ils veulent du eroguro, on leur donne du eroguro. A la limite, vous devriez être heureux de n'avoir que des lolis. =/
Je pense en effet que cette soudaine attention du législateur japonais est motivée par la volonté de faire sortir le manga, qui s'exporte très bien en Europe (quoique le marché est saturé en ce moment), du stéréotype "c'est violent c'est sexuel c'est dégeulasse", qui nuit à l'image du Japon. Ils veulent sûrement offrir une autre image de leur culture. Ce qui est évidemment une bonne chose.
Bien sûr que non, c'est complétement stupide.
Ca ne fait que souligner l'existence (et l'importance) de ce genre de production. Ce qu'il faudrait, c'est laisser ces trucs là aux doujinshi (et laisser les doujinshi tranquille) et de l'autre côté, laisser les auteurs faire autre chose que ce que la grande masse otaku (ou néo-otaku, hein Aflo'
![happy! =D](http://www.anime-kun.net/forums/Smileys/default/grin.gif)
) veut.