Sujet: Ookami Shoujo to Kuro Ouji / Wolf Girl & Black Prince

[Dregastar]

Épisode 5 : Noël c'est de la merde

J'aime bien ce qui est en train de se passer entre le prince et la louve...

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Normal qu'elle se prenne autant la tête, tellement il est délicat de savoir ce qu'a l'autre a dans la sienne. En tout cas il ne l'a pas lâché, venant jusqu'à chez elle...

A suivre.

Un épisode plutôt agréable avec quelques phases marrantes et d'autres un peu plus sérieuses.

[Dregastar]

Oups pour le Double Jump !

Episode 6 : le rival ?!

Nan sérieux c'est possible ? Puis surtout lui quoi ^^ Lui qui était si timide si frêle le voila qui se révèle... J'ai apprécié l'entrée en scène de ce nouveau personnage. En plus il a l'air d'être à fond !  Au point de la chiper au Prince ??  Nan ça m'étonnerai ça .... A mon avis c'est plutôt pour lui tenir tête et le faire douter... Ha ha ha ! Bref, un épisode bien sympa.

Et l'ending me trotte dans la tête depuis ce matin ... Une fois lancé, au bout de 10 sec c'est fini ~

www.youtube.com/watch?v=cpEii2q_AcE

[Maya*]

A deux épisodes de la fin, il serait temps de revenir donner un avis sur ce topic.

Doooonc. Je ne déteste pas vraiment mais... j'ai l'impression de passer mon temps à facepalmer.
Et on est bien d'accord que le film projeté au ciné dans le 10ème est un navet sans nom ? Sérieusement, c'était quoi cette séquence où la fille harcèle le mec pour qu'il se déclare en le traitant de tous les noms d'oiseaux ?

Je fuyais le manga à cause de son plot de maître/chien, et malheureusement, même si je laisse sa chance à l'anime, cette relation n'arrive toujours pas à me séduire, ça me laisse la plupart du temps de marbre, je n'adhère pas du tout à la dynamique du pairing, surtout depuis que l'humour ne tourne qu'autour de la romance SM (Takeru me manque!). Erika est pitoyable et Kyouya n'anime en moi aucune once de fangirlisme.
Y a des moments où je souris et d'autres que je trouve, étrangement, mignons mais une relation pareille ne me fait pas du tout rêver.

Le comportement de Kyouya n'est supportable qu'en fiction, et même IRL, il pourrait être appréciable tant il est honnête, mais là où ça agace, c'est que cette honnêteté désagréable à certains égards ne rencontre aucun retour de manivelle. La soumission d'Erika et comment elle se plie au caractère difficile de Kyouya et n'a strictement aucune répartie... c'est là où le bât blesse.
Ils sont souvent en désaccord et elle s'écrase toujours, elle est toute heureuse au moindre élan de sympathie ou d'affection de la part de ce dernier. Ça finit par me courir sur les nerfs, je peux encore tenir deux épisodes, mais je ne pense pas me tourner vers le manga.

PS : Et j'oubliais, l'adaptation est moche, très moche. Tout le budget a été dépensé dans les premiers épisodes, je crois. Parce que là, les personnages ne ressemblent strictement à rien les 3/4 du temps, et c'est à peine si ça bouge.

[Maddilly]

Épisode 7

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Plein de choses dans cet épisode qui m'ont gravement saoulée. Déjà, la fille qui tente sa chance maintenant que Kyouya est fraichement "célibataire" et qui, malgré qu'elle se soit fait remballer de façon odieuse, continue à le trouver trop cool... Allo ? Y a quelqu'un dans cette tête ? Jeune-fille-sans-nom n°7, es-tu vraiment là ?
Puis forcément, Kyouya. Au début, il me semblait intéressant par son coté ordure qui s'assume, mais de plus en plus on retombe dans le travers du genre qui tente de nous faire passer les enfoirés pour de pauvres âmes en détresse et... non, juste non.
Enfin, quelques répliques par-ci par-là sur les filles qui se blessent, que c'est pas bien pour une fille, tout ça. Ahahah.

Je suis quand même satisfaite de la fin de cet épisode. Erika s'est montrée sincère et Kusakabe a été adorable (ce petit est un ange <3).

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Et les dernières minutes, c'était mignon. :3 C'est tellement bien quand il y a de l'action ! Erika ne s'est pas laissée faire et a insisté pour qu'il se déclare de vive voix, mais elle s'est contentée de peu quand même. Kyoya aurait du lui rendre son câlin et pas lui pincer les joues avant de partir !

Ah, la preview ne me dit rien de bon pour la suite, Erika va encore en baver. :')

Épisode 8

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Je suis partagée... D'un côté, j'ai bien aimé la mise en scène de cette dispute et le fait qu'on montre qu'une romance n'est pas toujours rose et cliché, que ça peut paraitre insupportable à certains. Mais... d'un autre côté, Erika a fini par baisser les bras et se ranger à l'opinion de Kyouya, encore. Elle a bien le droit de trouver mignon de faire "comme tout le monde" et même si leurs avis divergent, les compromis ça existe. L'un ne doit pas obligatoirement se ranger du côté de l'autre pour faire cesser une dispute. Heureusement, vu qu'elle a fait le premier pas, Kyouya finit par se calmer lui aussi. C'était mignon ce petit moment "nourris-moi". Mais j'en ai un peu marre que ça soit toujours Erika qui poussent les choses à avancer pendant que lui râle dans son coin et attend un signe d'elle pour être gentil. Puis il aurait pu sourire devant elle aussi, plutôt que de s'en aller en l'obligeant à ravaler ses takoyaki à la hâte, ça lui aurait fait plaisir à la petite ! Erika se contente vraiment de trop peu. é__è
M'enfin, je dis ça, mais j'aime bien cet aspect plus réaliste et terre à terre. C'est une relation épuisante, limite toxique, avec tout de même ses moments mignons. On sort un peu des clichés habituels tout en s'y complaisant et en les assumant au grand jour.

Bon bon bon, à part ça, on a l'arrivée d'un nouveau personnage, Kamiya. Le tombeur de service en apparence, avec une façon de penser tellement superficielle que ça promet des moments fabuleux. x)
Erika me fait de la peine, c'est horrible. Elle est toute contente de voir que Kyouya l'a attendue, mais on sait bien que c'est pour marquer son territoire par rapport à Kamiya, qu'il fait ça. Si elle était restée toute seule pour s'occuper de la paperasse, ça ferait longtemps qu'il serait rentré chez lui. :') Au moins, il ne laisse pas Kamiya raconter n'importe quoi, c'est déjà ça.

Épisode 9

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Kamiya est bien décidé à foutre le boxon. Avec la bénédiction d'Erika qui joue la bienheureuse.

Kamiya est tordu. x) Sa façon de considérer les relations hommes-femmes est tellement idiote que c'est aberrant et presque drôle. Mais son insistance pour convertir Kyouya à sa façon de penser est vraiment envahissante. Laisse les gens vivre, mon garçon ! Il joue un peu le rôle de l'éternelle rivale de shojo qui arrive à un moment précis pour foutre la merde dans le couple. Aidé de l'autre cruche qui a le béguin pour Kyouya, que j'ai eu envie de frapper depuis son petit rougissement à sa déception finale, en passant par sa petite moue pour tenter d'embrasser son élu. Que quelqu'un me donne une pelle, je vais l'emplâter dans le mur ! è___é

Le revirement de Kamiya est soudain. Il avait l'air tellement convaincu par ses principes halakon. Mais j'ai bien aimé le petit retournement de situation avec la fille qui lui dit non, lui faisant ainsi réaliser qu'il n'est pas le seul à considérer les autres comme des relations factices. Le moment où il va réaliser qu'il finira tout seul n'est pas loin.

Et tout est bien qui finit bien à la fin de l'épisode. ~

Épisode 10

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Voilà un épisode un peu plus reposant. Quoique... c'est quand même horrible qu'Erika demande de l'amour comme cadeau d'anniversaire. :')
D'ailleurs Erika... c'était quoi, cette tenue ? Elle ne collait tellement pas au personnage, ça lui donnait un air vraiment trop... sage ? En tout cas, ça accentuait vraiment son côté potiche niaise. Surtout avec Kyouya à côté, habillé de façon super moderne et décontractée.

Alors pour son anniversaire, en guise de preuve d'amour, il a accepté de passer toute une journée ensemble, à faire des choses qu'elle aimait bien.
En tirant la gueule toute la journée.
Pendant qu'Erika, elle, était tout sourire et toute excitée par la moindre miette d'attention qu'il lui donnait.

Fabuleux.

Je n'arrive pas à totalement détester Kyouya car malgré son attitude, il aime Erika et il aime la rendre heureuse.
De temps en temps.
Quand il est d'humeur.

Il est complètement à côté de la plaque. :') Puis le coup du "je t'aime" qui reste bloqué avec le film dont il pense pouvoir s'inspirer, c'était trop drôle. xD Le coup du "je te protège de la circulation et j'en profite pour me déclarer" était trop bidon, mais le câlin final était mignon. :')

J'aime bien cette série et en même temps, y a plein de choses qui m'agacent. Je dois être un peu maso moi aussi. Et décidément, ça manque de Takeru ! On évite le cliché du prétendant aux cheveux de couleur opposée, mais ça aurait été chouette de développer aussi des romances secondaires.

A new shipping is born : Takeru x San-chan, ils ne se sont pas encore adressés la parole, ils ne se sont même pas encore rencontrés, mais je m'en fous, les personnages géniaux sont shippables ensemble.

J'approuve totalement. *___*

[Hei]

Maya, sur ce genre de série, c'est plutôt au Tout ou rien 

Grosso modo la dizaine d'épisodes :

Premier soucis, certains moments de faux pas/non sens, ou de flottements font que je prends une certaine distance durant mon visionnage. Je le fais de plus en plus mais pour les "séries sucreries" j'ai décidé de me conditionner et pourtant...  La justesse qui faisait l'authenticité dans Ao haru, n'y est pas ici. D'où la prise de recule et le fait que je ne puisse pas rentrer pleinement dans l'histoire sans me faire des réflexions.
Deuxième élément dommage, l'impact des personnages. Les deux sont pas fous mais c'est surtout l'équilibre qui est mal ajusté. Comme dit Mad au dessus, le prince ne dynamise pas assez le couple ce qui amène la louve à se démener d'avantage et ça alourdi son rôle déjà bien assez distingué de "nana soumise" (je voyais pas d'autres termes, gomen, ne me jetez pas de pierre, je ne suis ni féministe, ni macho). 'Fin vous voyez ce que je veux dire.

Pour le positif, déjà cette série est drôle. Non, sérieux, j'ai plus rit dans cette série que dans les récentes romances animées que j'ai pu voir. Honnêtement, ça me rappel Kamisama un peu avec le même genre de couple finalement, en plus prononcé évidemment.
Au de-là de l'humour, le couple cliché fonctionne pour qui conque n'a pas regardé/lu une vingtaine de titres proposant le même schéma. Plus encore que l'efficacité correcte du duo, c'est leur évolution simpliste et tranquille qui m'a plu. Je pense en particuliers au déroulement après la moitié de séries et l'épisode de la porte d'entrée en soirée : Depuis, la première évolution d'Erika rempli le strict minimum qu'on attendait d'elle pour la suite (même si elle reste aussi flexible par la suite), puis vient le changement plus progressif de Kyoya qui lui se révèle un tout petit peu plus complexe et traité un petit plus en profondeur que le reste. Notamment avec le dernier arc de Nozomi, que j'ai beaucoup apprécié pour la fin où l'authenticité était de mise. Kyoya montre au fils des épisodes ce qui pourrait rendre intéressant sa vie et fait tomber le masque qui avait franchement pas de swagg, il est plus percutant en seconde moitié de série. ET, c'est grâce à toute la partie frustrante où il ennuie plus qu'autre chose par son pseudo côté démoniaque, que la franchise qu'il arbore ensuite prend de l'intensité.

Ces deux scènes de l'épisode 9 :

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Après, pour relativiser tout ça : Cette série est un dessert. Et encore, un dessert léger hein ! Quand on parle de profondeur, il est pas question de réel développement, juste de petits détails sympathiques. Néanmoins, à l'image de la conclusion de l'épisode 9, le capital sympathie d'Okami Shoujo est bien présent.

PS : Oui, pour Takeru x Sna-chan. Maya écrit nous un shojo un jour o/

D'ailleurs, mis à part Database, parce que Database quoi, je valide le couple Op/End comme le plus énergique et entraînement de cette saison 
Et vu que ton lien est mort et qu'il m'est aussi rentré dans le crâne, dommage que cette série ne soit pas sortie en été :

https://www.youtube.com/watch?v=7yuKxLtybhk

[Maddilly]

Épisode 11

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Erika pense donc que cette Reika va être sa belle-sœur plus tard. Elle se voit déjà mariée à l'autre enflure ? Cette petite s'enfonce encore plus profondément. C'était possible, hey oui. On est dans le délire "on est ados mais on s'aime pour la viiiiiiie". Fa-bu-leux.
Au passage : Erika / Reika... une lettre déplacée... Kyouya aurait-il un sister complex ? Et c'est pour ça qu'il aurait besoin d'une petite amie si soumise, pour compenser la tyrannie de la grande sœur ? Bonjour la psychologie de comptoir !

La grande sœur ne me plaisait pas trop au début, même si son chara-design est super chouette. Par contre, sa répartie sur le zoo m'a tuée. C'est juste génial.  Et je suis bien d'accord avec elle sur le fait que la relation entre son frère et Erika est pathétique, mais par contre elle se montre vachement critique pour quelqu'un qui ne les a jamais fréquentés. Elle n'a pas tort dans le fond, mais son côté envahissant et je-me-mêle-de-tout-parce-que-c'est-mon-frère-et-je-fais-ce-que-je-veux-de-toute-façon-j'ai-raison m'ennuie. Puis sa façon de parler est vachement gonflante, aussi.

Pour le positif, j'ai aimé la réaction d'Erika par rapport aux moqueries de la sœur sur Kyouya. Enfin, plutôt pour le principe, parce que sur le fond je suis d'accord. Même si ça serait bien qu'Erika montre autant de détermination face à son chéri également. Du coup, le fait qu'il accoure lui aussi à la rescousse de sa bien-aimée, c'était sympa. Même si, franchement, qu'est-ce qu'elle aurait pu lui faire de si terrible ? La séquestrer dans la cave du restaurant ? x) Le coup du gros bruit de vomi m'a fait rire aussi, j'avoue. Humour pipi-caca, toussa. C'était si surprenant, si beau, si sincère. :3

Ce qui a tout gâché, encore une fois, c'est Kyouya.

Quand il lui rejoue le sale type, genre "c'est ça que t'aimerais que je dise, hein", c'était juste... inutile. Au final, on n'accorde aucune évolution au personnage. Le seul changement qui se fait dans le couple, c'est Erika qui s'écrase de plus en plus au fil du temps. Ah si, Kyouya change, on le montre de plus en plus comme un pauvre ado renfermé et traumatisé par sa sœur. Ça m'irrite au plus haut point.

Bref. x)

Niveau tournure de l'histoire, c'est mou. On est passé l'humour du début ? Où est passé le Takeru-centric ? La rencontre de la famille est tout ce qu'il y a de plus déplacé, à mon goût. Surtout que ça va être torché dans le dernier épisode et la preview n'annonce rien de bon.

[neOwx]

Bah tient je suis surpris que cette animée déplaise.
J'ai personnellement beaucoup aimé le prince : c'est un enfoiré et il assume. Ça change des persos que j'ai pu voir dans d'autre romance, qui sont juste des mecs parfaits.
L'anime est très drôle au début et l'anime a une fin. Erika est peut-être un peu trop tolérante (soumise ?), mais ça correspond bien a l'idée de départ maître/chien.

Une remarque au passage :

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Je m'attendais un énorme traumatisme, pour le coup des bonhomme de neige. On revoyais les images encore et encore pour finalement apprendre ... que sa sœur a marcher dessus. Sérieusement ?

Après, il faut voir que j'ai pas regarder beaucoup de romance (shojo ?) mis a part des eichis harem (...), donc j'ai pas beaucoup de points de comparaison.

[Maya*]

Ho. J'avais oublié de faire mon travail d'éclaireur sur ce topic. (Après tout, je me sens un peu responsable après avoir vendu le titre suite au premier épisode.)

Mon enthousiasme était déjà douché à la moitié de la série, ce n'est pas allé en s'améliorant par la suite, puis le dernier épisode m'a tout bonnement achevée... Absolument horripilant.
Le budget a foutu le camp et y a eu des plans dont le staff devrait avoir honte jusqu'à la fin des temps (ou bien jusqu'à la sortie des bluray seulement) mais là n'est pas le problème, ce n'est ni les graphismes qui partent en cacahuètes ni l'animation statique qui m'ont donné envie de me défenestrer : C'est l'histoire.

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J'ai beaucoup de mal avec les connards au passé sombre et les cruches soumises, et on m'a servi ça pendant 11 épisodes, j'étais déjà au bord de l’anévrisme... donc ce dernier épisode, c'était le coup de grâce porté à une Maya déjà les deux genoux à terre.

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Pour pas changer, Kyouya continue de traiter Erika comme sa propriété, tous les moments où il se poste tel un chien de garde pour repousser les autres mâles, et la recherche du pendentif les reliant et rappelant à Erika qu'elle est "sienne"... Tout ça, on va faire comme si c'était devenu la toile de fond et que j'ai développé une immunité. Mais là où on me prend en traître, c'est tout le bordel avec la mère... aïe aïe aïe ! Du goujat, on passe au fils indigne et culpabilisant, snobant et faisant culpabiliser sa mère JUSTE parce qu'elle a divorcé de son père... O_o

....
.......



Bon, déjà que j'aurai préféré qu'on essaye pas d'inventer une origine traumatique à son comportement de merdeux... mais si l'auteure tenait tant à justifier sa connard-attitude, autant pondre un truc bien, l'anecdote avec les bonhommes de neige m'avait donné envie de me m'arracher les cheveux. x']

La série s'achève en me laissant un goût amer. Dépitée, j'ai jeté un coup d’œil au manga, graphiquement c'est d'un autre level évidemment, c'est même très agréable à l’œil, il n'en reste pas moins que... J'AI COMPRIS, je m'excuse auprès du studio, que suis-je bête, les gens derrière cette adaptation ont tout compris au titre, mais vraiment. Avec l'anime, ils ont réussi à allier le fond à la forme : du crottin de cheval. Excusez du troll, faut bien que je j'évacue après toutes ces minutes précieuses de mon existence que j'ai perdu !

Sinon, pour te répondre, neOwx, ce n'est pas le côté enfoiré qui s'assume qui dérange. Déjà, parce ce n'est pas tant assumé que ça vu que le background des bonhommes de neige (pour ne rien spoiler) sorti du trou de balle de l'univers est supposé nous le rendre sympathique, pauvre petite chose repliée sur elle-même, mais grâce à son toutou, il reprend foi en les canidés l'humanité.
Ça ne change pas tellement des mecs parfaits, c'est juste prendre le cliché par l'autre bout, d'un côté on a le prince charmant, de l'autre le gros connard tr0 d4rk tr0 seks parce que les filles aiment se faire plaquer contre les murs (sans déconner, le Kabe don est très en vogue au Japon), préparer des bento et recevoir des cadeaux de leurs mâles pour leur signifier à qui elles appartiennent... m'voyez. J'ai tendance à fuir ce cliché comme la peste, mais dans Ookami, on a réussi à tromper ma vigilance avec l'humour. Malheureusement, l'humour n'a pas a suffi à masquer les lacunes de l'histoire, même que le side-kick le plus cool qui soit, Takeru, a été mis de côté assez tôt dans le récit... Dommage, il aurait pu sauver les meubles s'il apparaissait un tantinet plus souvent.