Support : Série TV
Format : ?? épisodes
Parenté : adaptation d'un light novel/manga
Date de première diffusion : 8 avril 2014
Studio d'animation : Kinema Citrus (
Yuyushiki,
Code:Breaker)
Réalisateur : Masayuki Kojima (
Monster,
Piano Forest)
Assistant réalisateur : Hiroshi Ikehata (
Accel World)
Auteur original (LN) : Shiden Kanzaki
Musique : Shiro Sagisu (
Evangelion,
Bleach,
Berserk Golden Age)
Casting vocal : Yuuki Kaji (Rentaro), Rina Hikada (Enju), Rikiya Koyama (Hiruko Kagetane)
Résumé (soumis pour la fiche) :
En 2021, la population est forcée de vivre recluse derrière d'immenses monolithes qui seuls peuvent les protéger de la menace apparue il y a dix ans. En effet, l'humanité est menacée par un virus parasite, Gatsrea, qui transforme les gens en insectes géants. Ces créatures craignent le varanium, un métal rare avec lequel on a érigé les monolithes qui entourent les derniers bastions humains tels que Tokyo.
Il s'avère par ailleurs que le virus Gastrea, sous certaines conditions, peut infecter un être humain sans le transformer. Ces "Enfants Maudits" possèdent des super-pouvoirs dont ils se servent pour protéger la ville des Gastrea qui se seraient infiltrés. Pour les guider dans leur tâche, ils sont accompagné d'une personne employée par des entreprise de sécurité, les Promoteurs.
Rintaro Saotome est un de ces Promoteurs, et travaille depuis un an avec Enju, une Enfant Maudite. Ensemble ils affronteront Hiruko Kagetane, un étrange personnage masqué qui tente de détruire le monde.
Lien vers la fiche AKLien vers la fiche ANNCommentaire : le minuscule studio Kinema Citrus tente son entrée dans la cour des grands avec l'adaptation attendue du LN
Black Bullet. Histoire de faire bonne mesure, quelques grosses personnalités sont appelées sur le projet dont le réalisateur Masayuki Kojima, pilier du studio Madhouse, ainsi que le meilleur compositeur de musique d'anime actuel, Shiro Sagisu.
Dans les faits on a un récit qui, par crainte d'être pris au sérieux, sabote son ambiance dès le départ avec des lolis et des gags lourdingues sur des pousses de soja soldés. On note avec amusement les références opportunistes à
Shingeki no Kyojin, que ce soit le choix de Yuuki Kaji pour doubler le protagoniste, la séquence d’introduction (rajoutée par rapport au manga), ou encore les génériques (assez moyens d'ailleurs ; réutiliser des plans de la série dans l'opening est traditionnellement une méthode assez
cheap).
Pour le moment Sagisu tient la machine à bout de bras.