Auteur Sujet: Et l'histoire du Japon ?  (Lu 3324 fois)

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Duna

Et l'histoire du Japon ?
« le: 11 Mai 2014, 18:01:02 »
Bon, j'ai vérifié, normalement je ne fais pas de doublon ! (J'ai retrouvé mes lunettes, si, si)

L'Histoire dans les essais, romans, films, et bien sûr animés et mangas... bref, le sujet est ouvert, et vaste !

Je suis en train de lire un petit chef- d'œuvre, plus d'infos sur le site qui suit :



http://www.decitre.fr/livres/histoire-du-japon-medieval-9782262041892.html

A part ça, mon idole est le maître du gekiga Hirata, Hiroshi de son prénom.

Mon top 5 des films ayant attrait à l'histoire nippone sont Ame Agaru/Après la pluie, Kagemusha/L'ombre du guerrier, John Rabe, Merry Christmas Mr Lawrence/Furyo,The last samurai (2003). (Et je compte voir Les amants crucifiés et Les vingt-quatre prunelles sous peu). Quoi, il n'y a pas les Sept Samurai dans ce top, sacrilège ?! Je sais, mais j'assume.

Et je compte tester tout ce qui porte le tag "historique" sur la BDD AK. (Hein, quoi, "This is madness !" ? Meuh non)

Zankaze

Re : Et l'histoire du Japon ?
« Réponse #1 le: 11 Mai 2014, 18:08:07 »
Kenshin est un shonen sympa qui en apprend beaucoup sur le début de la période Meiji.
Sinon, L'Habitant de l'Infini est une tuerie mais vaut plus pour la reconstitution de la culture et de la vie quotidienne de l'époque.


"Set your Heart Ablaze."

Down

Re : Et l'histoire du Japon ?
« Réponse #2 le: 11 Mai 2014, 18:27:14 »
Ça n'est pas très porté historique, mais en ce moment je lis les Notes de Chevet de Sei Shonagon, une dame d'honneur de la cour à l'époque Heian (~an 1000). On y voit régulièrement décrit, entre des passages plus poétiques et abstraits, la vie et les coutumes de la cour de l'époque.

Je ne suis pas très avancé dedans encore, mais c'est assez plaisant à lire pour le moment.

Depuis quelques mois j'avance aussi tranquillement dans la filmographie de Kurosawa, mais là encore ce n'est pas non plus fortement historique (à la limite les films les plus historiques que j'ai vu de lui seraient plutôt ceux qui se déroulent contemporainement à leur année de production et qui capturent bien l'esprit de l'époque, comme Yoidore Tenshi ou Ikiru).

Kyoshi

Re : Et l'histoire du Japon ?
« Réponse #3 le: 11 Mai 2014, 18:48:04 »
Citer
je lis les Notes de Chevet de Sei Shonagon

Tiens, un courageux. :D (Ça a l'air autrement plus agréable à lire que le Dit du Genji, d'un autre côté.)
J'avais commencé, puis les exams me sont tombés dessus.

Afloplouf

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Re : Et l'histoire du Japon ?
« Réponse #4 le: 11 Mai 2014, 18:53:56 »
Quoi, il n'y a pas les Sept Samurai dans ce top, sacrilège ?! Je sais, mais j'assume.
* Afloplouf raye Duna sur sa liste des gens de qualité.

Pour la peine, j'impose à tout le monde un long pavé que j'avais écrit en 2008 (u_u je me fais vieux) sur un autre forum pour ce film :

Citer
Autant je suis habitué à peser mes mots avec soin afin d'éviter de froisser les sensibilités des uns ou des autres ou pour évoquer les thèmes polémiques d'une œuvre, autant avec Shichinin no samourai d'Akira Kurosawa, je me prépare à critiquer un monument du cinéma. Ce film a durablement marqué les esprits et influencé nombre de cinéastes. Le film a fait l'objet d'un remake américain, les sept mercenaires ; et si la copie est de qualité, elle est très loin d'égaler l'original. La technique de recrutement des samouraïs est reprise dans Ocean's Eleven. La technique du rideau pour la transition entre plusieurs tableaux inventée par Kurosawa, et utilisée dans ce film, a été empruntée par Georges Lucas pour Star Wars... etc... Enfin, un série d'animation, Samurai 7, a aussi été produite en 2004 et respecte scrupuleusement dans le fond voire dans la forme à l'exception du contexte ce film ; du moins dans la première partie.

Si Kurosawa a aussi produit des films dans un cadre contemporain, il est surtout connu pour ses films historiques. L'Empereur – surnommé ainsi à cause de son perfectionnisme et de ses méthodes dictatoriales lors des tournages – livre ici un véritable travail de maître. Bien qu'il ait réalisé des films en couleurs, son talent ne s'exprime pleinement qu'en noir et blanc. Si le film peut paraître âpre à ceux qui ne sont pas habitués à ce format, on se rend rapidement compte de la pureté de la mise en scène. Dans cette optique, le film laisse la part belle aux silences seulement rompus par le bruit du vent ou de l'eau.
Les décors, pour autant qu'ils soient dépouillés, sont mis en valeur par le multi-angle - Kurosawa est l'un des premiers à utiliser cette technique – et le cadrage. Les personnages sont mis principalement à la taille dans une facture somme toute classique, déjà à l'époque. Mais c'est surtout la caméra en plongée sur le village, comme une menace, et cette même caméra qui donne l'impression de tourner autour des personnages ou de bouger en même temps qu'eux – nous sommes dans les années 50, ne l'oublions pas - que l'on retiendra.

La météo est presque un personnage à part entière. On pense au vent notamment qui souligne l'intensité dramatique. Mais on pense surtout à l'utilisation de la pluie dans la scène finale culte en elle-même.
Les acteurs délivrent également une prestation de haute volée. Takashi Shimura et surtout Toshirō Mifune, deux acteurs fétiches de Kurosawa, emmène une tripotée d'acteurs qui rivalisent dans l'excellence. Le film n'a jamais été doublé, et c'est une bonne chose.
Si la musique est anecdotique comme beaucoup de films de l'époque, je n'en dirais pas autant de la direction du son. Alors que la stéréo n'existait pas encore, le spectateur est vraiment transporté dans ce petit village de la campagne japonaise.

Après avoir abordé la forme, parlons un peu du fond. Mais avant cela, je crois utile de faire un petit rappel historique sur le contexte dans la mesure où le petit Français (ou la petite Française) n'est pas forcément féru(e) de l'histoire du Japon ou n'en a qu'une idée lacunaire. Le temps de l'histoire n'est pas précisé mais beaucoup d'indices laissent penser qu'on est dans les années 1580, 10 ans environ après la bataille de Nagashino. Nous sommes vers la fin de l'ère Momoyama, peu de temps avant le début de l'ère Edo. Le shogunat des Ashikaga peine à maintenir l'ordre dans le pays et ne sort pas des murs de Kamakura la capitale. Des guerres d'unification modifient profondément le paysage politique japonais et les daimyôs, les seigneurs locaux, se battent entre eux. Les talents des samouraïs ne déterminent plus la maîtrise des champs de bataille. Depuis près d'un demi-siècle, les seigneurs se dotent d'armées de conscrits paysans, les ashigarus, éventuellement commandés par des samouraïs. Importée par les portugais au milieu du siècle, l'arquebuse – que les japonais appellent teppô – a démontré son influence significative en 1975 à Nagashino où 3000 paysans sous-entraînés armés de mousquets défont une cavalerie aguerrie de plus de 40000 samouraïs. Ces guerres d'unification vident donc les campagnes et font peser un poids encore plus lourd sur les paysans avec l'augmentation du nombre de rônins qui les volent. On estime que plus d'un demi-million de Japonais perdront la vie en l'espace d'une génération (40 ans à l'époque).

Ces précisions faites, on peut commencer à parler du scénario. C'est dans le titre, vous l'aurez deviné, ça parle donc de samouraïs. Replacés dans le contexte, nous sommes à une période charnière des samouraïs. Leur gloire d'antan a disparu au profit de plus simples soldats et ils ne sont pas encore ces gardiens de la paix de luxe de l'ère Edo. Avec ces batailles incessantes, de nombreux rônins sont sur les routes. Les rônins sont des anciens samouraïs dont le maître a été vaincu et à qui l'on n'a pas autorisé – ou qui n'ont pas voulu - de se suicider honorablement lors du rituel dit du seppuku. Si le jeune Katsuhiro peut échapper à la règle de par son jeune âge, on comprend rapidement que la définition de rônin peut s'appliquer de la même façon aux brigands qu'aux « sept samouraïs ». Mais cette distinction n'est pas que sémantique. Alors que ces brigands ont oublié leurs valeurs, la petite troupe guidée par Kambei s'accroche à son code d'honneur, le fameux bushidô. Cette bataille va donc opposer d'anciens frères d'armes. Même ennemis, ils n'en partageaient pas moins des idéaux. L'oeil du cinéaste apportera une différence supplémentaire, visuelle celle-là. Les samouraïs se battent en kimono là où les rônins gardent les armures de l'ancien temps. Par contraste, les rônins sont les seuls à se servir de fusils.

Ce film n'est donc pas seulement l'occasion de jouir des combats mais également de vivre l'esprit du samouraï, fut-il fantasmé. (Quand on étudie un peu mieux l'histoire japonaise, on constate que certaines des règles du bushidô, au hasard la dévotion à l'empereur, n'étaient pas toujours respectées). Il n'en reste pas moins que les personnages ont un fort charisme, quand bien même les auteurs ont pris des libertés scénaristiques. Les combats sont magnifiques – on pense notamment à la sublissime bataille finale – mais on apprécie de voir que les samouraïs se servent d'abord de leur tête avant de dégainer leurs sabres. Par exemple, au début du film, Kambei se fait passer pour un prêtre afin de sauver un enfant kidnappé. Ce film est aussi l'occasion de constater les compétences tactiques des samouraïs lorsqu'ils organisent la défense du village.

Mais les samouraïs sont loin d'être les seules vedettes du film, les villageois sont aussi à l'honneur. Je n'irai pas jusqu'à dire qu'ils sont les véritables stars du film comme j'ai pu le lire, mais ils ont incontestablement eu droit à un travail recherché. La majeure partie du film n'est pas l'action mais bien la psychologie des ces deux strates de la société. La tentation était pourtant belle de présenter les gentils paysans face aux méchants brigands mais Kurosawa a évité ce travers. On les voit tantôt pleutres, tantôt roublards voire cruels. Nombre des symboles forts du film sont rattachés à cette paysannerie vue avec un regard dur mais franc et juste.

3H20 de bonheur en somme et un film tout simplement indispensable pour tous les amoureux du cinéma qui se lassent des effets spéciaux à outrance.

Et la série d'animation Samurai 7 vaut aussi le coup même si là je peux imaginer qu'un effort soit nécessaire pour rentrer dans cet univers.

Zero70

Re : Et l'histoire du Japon ?
« Réponse #5 le: 11 Mai 2014, 19:52:49 »
En anime il y a le très bon (et le très triste) Tombeau des Lucioles qui est à voir : le film est assez connu, il parle de deux orphelins qui essaient de survivre en 1945 au Japon.

« S'ils restaient chez eux, la criminalité au Japon baisserait de 98%. »
~ Inspecteur Megure à propos de la famille de Kogoro Mouri et leur entourage

Down

Re : Et l'histoire du Japon ?
« Réponse #6 le: 11 Mai 2014, 20:01:13 »
Citer
Pour la peine, j'impose à tout le monde un long pavé que j'avais écrit en 2008 (u_u je me fais vieux) sur un autre forum pour ce film :

Je dois l'avouer, je ne suis pas non plus entièrement convaincu par Shichinin no Samurai. Le film est très bon, c'est sûr, et je suis entièrement d'accord avec ce que tu dis dans ton pavé. Mais ça ne me mène pas à crier au génie. A vrai dire des films comme Rashômon ou Donzoko me parlent plus que celui-ci.
En fait, ce qui me donne le plus l'impression d'être passé à coté du film, c'est de ne pas avoir tant ressenti ce souffle épique que l'on a tellement vendu. Faudra voir lorsque je le reverrai un jour, mais en attendant je reste légèrement sceptique.

Citer
En anime il y a le très bon (et le très triste) Tombeau des Lucioles qui est à voir : le film est assez connu, il parle de deux orphelins qui essaient de survivre en 1945 au Japon.

Pour en savoir plus que ce que vous voudrez jamais en savoir sur le Japon et la seconde guerre mondiale dans les anime, j'étais tombé sur cet article de blog qui m'a l'air pratiquement exhaustif.

Afloplouf

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Re : Re : Et l'histoire du Japon ?
« Réponse #7 le: 11 Mai 2014, 20:16:36 »
En fait, ce qui me donne le plus l'impression d'être passé à coté du film, c'est de ne pas avoir tant ressenti ce souffle épique que l'on a tellement vendu.
Mais précisément il n'est pas épique. Bien au contraire, il déconstruit le mythe du samouraï pour retranscrire sous la lumière crue de la réalité ces guerriers, les hommes de pouvoir officiels/officieux/revendiqués et les paysans. Où comment le pouvoir s'équilibre entre ces trois groupes là  : manque que la religion et le commerce et le tableau serait complet. Et justement, une des qualités de Samurai 7 est d'inclure les commerçants dans le décor  ; ça et le rapport à modernité pour humilier méchamment le machin aseptisé et nul à chier du dernier samourai.  :wacko:

Duna

Re : Et l'histoire du Japon ?
« Réponse #8 le: 11 Mai 2014, 20:42:16 »
Attention, j'ai apprécié les Sept samourais, et j'ai même vu le film trois fois. Seulement, il n'est pas dans mon top 5 ^^ (7e place peut-être ? :p) Après, j'ai adoré le Dernier Samourai juste à cause de la phrase sur les fleurs de cerisiers, et le plancher rossignol. Alors que je suis très très loin d'être fan de Tom Cruise.

Aaah, l'Habitant, Kenshin, Le Tombeau... du bon tout ça :D Le Dit du Genji je l'ai lu en début d'année (pour le fun, si, si) et je trouve que ce n'est pas si chiant que cela ! J'aime les Dits, les Gestes et Chansons, ce genre de vieux trucs, perso.

Et merci pour cet article Down !

Virevolte

Re : Et l'histoire du Japon ?
« Réponse #9 le: 12 Mai 2014, 10:42:46 »
J'ai quelques romans à mon actif qui pataugent entre les années 1400 et 1600. Parmi ceux-ci, La Promesse du Samurai de Dale Furutani est l'un de mes ouvrages favoris (c'est le premier tome d'une super trilogie sur un ronin). Jérôme Noirez (un français), a également écrit Fleurs de Dragon (1600, c'est une enquête où l'on suit un magistrat) et Le Chemin des Ombres (euh... très vieux, ça parle d'une légende d'Amaterasu et de Susanoo).
Citer
J'aime les Dits, les Gestes et Chansons, ce genre de vieux trucs, perso.
Ah ? Moi j'ai un peu du mal. En ce moment, je suis sur La Geste des Sanada de Yasushi Inoue, et je ronge un peu mon frein. Pas vraiment aussi intéressant qu'un roman dans le style d'écriture, pas aussi informatif qu'une oeuvre plus formelle... je ne poursuivrais pas dans cette voie.

J'ai également acheté Le Maître de Thé, du même auteur, mais pareillement, je suis trop frivole pour réussir à réellement m'y intéresser ~

Duna

Re : Et l'histoire du Japon ?
« Réponse #10 le: 12 Mai 2014, 10:47:48 »
Waaaa, tu me donnes envie de lire tous les titres que tu as mentionné Virevolte *_* J'ai grand-hâte de fouiller dans le catalogues des bibliothèques.

Zankaze

Re : Et l'histoire du Japon ?
« Réponse #11 le: 12 Mai 2014, 12:16:13 »
Citer
La Promesse du Samurai de Dale Furutani est l'un de mes ouvrages favoris (c'est le premier tome d'une super trilogie sur un ronin).

DANS. MES. BRAS. C'est mon ouvrage historique favori et je n'ai jamais rencontré quelqu'un qui connaissait. Le tome 1 est un peu trop "calme" bien que déjà très bon, mais j'ai adoré le 2 et le 3.
« Modifié: 12 Mai 2014, 12:28:25 par Zankaze »


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Down

Re : Et l'histoire du Japon ?
« Réponse #12 le: 12 Mai 2014, 12:25:45 »
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Jérôme Noirez (un français), a également écrit Fleurs de Dragon (1600, c'est une enquête où l'on suit un magistrat) et Le Chemin des Ombres (euh... très vieux, ça parle d'une légende d'Amaterasu et de Susanoo).

Et c'est bien? J'ai une très mauvaise expérience avec cet auteur, dont j'ai détesté le Féerie pour les ténèbres, mais peut-être que sur un autre style ça passerait mieux.

Virevolte

Re : Et l'histoire du Japon ?
« Réponse #13 le: 12 Mai 2014, 13:52:51 »
Oui, c'est bien. J'ai découvert Jérôme Noirez avec Fleurs de Dragon et sa suite, le Shogun des Ombres, et j'avais beaucoup aimé le style et l'enquête. Surtout parce que le personnage principal est un magistrat d'âge mûr, expérimenté, un petit peu bedonnant, et malin ~
C'était assez rafraîchissant.

Mais déjà pour ces deux volumes, j'avais été un peu décontenancé par la petite touche de surnaturel rajoutée, qui s'avère assez superflue.

Le Chemin des Ombres m'a un peu moins intéressé. On est davantage dans un monde de mythes et légendes, avec des personnages se superposant aux o-kamis Amaterasu et Susanoo.
Et comme tu l'as justement remarqué avec Féérie pour les ténèbres, l'auteur a une approche assez spéciale de tout ce qui touche au fantastique. Moins il en incorpore à son récit, mieux on s'en porte. Et puis, dans Féérie pour les ténèbres, ce n'est pas tant le style d'écriture de l'auteur que l'histoire complètement fumée qui t'a déplu, j'imagine. Je n'en garde pas non plus un très bon souvenir d'ailleurs...

Fleurs de Dragon et Le Shogun des Ombres ne comportant qu'une très faible dose de surnaturel, ils se lisent très bien et sont de bons spécimens de romans d'enquête au Japon féodal. Même si ça ne détrône pas Dale Furutani selon moi ~
 
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DANS. MES. BRAS. C'est mon ouvrage historique favori et je n'ai jamais rencontré quelqu'un qui connaissait. Le tome 1 est un peu trop "calme" bien que déjà très bon, mais j'ai adoré le 2 et le 3.
Ce que j'aime bien dans le premier tome, c'est que le personnage principal est encore très libre de ses mouvements. Il intervient en électron-libre dans l'histoire, fait à sa guise et puis s'en va. Dans les tomes suivants, le scénario est bien davantage concentré sur sa quête personnelle, donc donne l'impression de plus de linéarité à mon goût.
M'enfin, Matsuyama Kaze est vraiment top comme héros ~
« Modifié: 12 Mai 2014, 13:56:09 par Virevolte »

shadow8

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Re : Et l'histoire du Japon ?
« Réponse #14 le: 12 Mai 2014, 14:23:55 »
Les livres sur le Japon par James Clavell sont des chef d'œuvres. Shogun m'a été donné de lire le meilleur livre sur le Japon.