Le ressenti devient intéressant quand on a appris à connaitre la personne, ses gouts, ses expériences, etc.
Traumatisant le hobby. La différence n'est pas si brutale que ça dans YLIA. J'ai pensé à Nodame, car en introduction tu insistes bien sur l'importance d'être musicien pour apprécier cette série, déguster les mélodies. Avec le choix de cette construction dans ta critique, tu enlèves ce côté hobby que tu évoques dans ta réponse.
Concernant mon analyse du Chara design, comme je l'ai souligné au début de ma critique, les avis et les critères divergent, chacun se base sur quelque chose de différent pour juger. Parfois c'est telle ou telle scène dans tel ou tel épisode qui fait toute la différence..
Les goûts, les couleurs, on sait, on sait. Mais si tout le monde est si différent, rien ne sert de critiquer, rien ne vaut de voir soi-même les animes
@Red : Même dans le shonen typique, être surpuissant, mais limité par une quelconque barrière qui nous abaisse à un niveau de merde sidérale, c'est plutôt convenu aussi dans le genre. Pas besoin de se réfugier dans le corpus pas trop épais et pas trop connu des intrigues romantico-musicales pour démonter le procès en originalité.