T'as pas envie de savoir.
Quand j'ai vu que le Kubo voulait pas lâcher l'affaire après l'arc Espada/Eizen qui en soit était une conclusion propre à l'histoire, j'ai abandonné... Le schéma montagne russe prend la tête au bout d'un moment.
Sinan je comprend la frustration de Pitucho dans sa critique de Masamune.
Le genre qui tourne en rond pendant 12 épisodes et qu'il te fait croire qu'il s'est passé quelque chose... Alors qu'en fait à la fin c'est retour à la case départ, tant au niveau de la psychologie des personnages que des amourettes.
Ça donne l'illusion que ça a bougé mais en fait pas vraiment, la Japanim pour ce genre là en particulier (mais pas que
), adore maintenir une espèce de statuquo. Comme une nostalgie adolescente qui veut figer le temps d'une époque considéré comme la meilleure et garder la ferveur des premiers émois amoureux.
Mais surtout figer la période de la prise de conscience des sentiments et du flirt avant la déclaration qui n'arrivera jamais, quitte à casser le rythme et balancer un perso balise bidon pour temporiser...
En gros le lycée c'est ce qui arrivera de mieux dans ta vie, après la fac, le boulot, le stress, la vie amoureuse qui craint, toussa toussa on n'en veut pas!
Bon après l'idée étant juste de promouvoir le manga en général car c'est surtout là avec les goodies que se trouvent les pépètes, les 12 premiers épisodes sont en fait juste une mise en bouche avec une fin qui n'en est pas une. Et comme ce genre là est prisé par le public, ça sort du générique en masse et on perd en qualité.