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Gally : Content que
Le Chef de Nobunaga te plaise dans son début. Sans spoiler ni ébrécher le plaisir de la découverte l’accent est mis sur les plats cuisinés et leur pouvoir communicatif / symbolique. Ainsi que la relation que Ken entretient avec Nobunaga dans un contexte politique diplomatique et militaire. Ça, c’est une bonne partie du manga. A un moment on peut avoir l’impression que ça s’enlise, ce qui peut faire décrocher un peu… Mais ça repart sur de bons rails. Tout en gardant la même recette l’auteur se mettra enfin à aborder tout ce que l’on croyait oublié ou devenu secondaire. Je reste évasif volontairement.
Bonne lecture encore une fois !
Sinon justement je viens de terminer ce tome 1 de
Mibu Gishi-Den. +1 (bien vu merci), il y a du samouraï réaliste, un volet inusité sur le Shinsen gumi, des planches somptueuses et une narration au diapason; n’ayons pas peur des mots ça s’annonce excellent. C’est dans le style à l’ancienne comme on ne voit plus trop. C’est tiré d’un vrai roman et cerise sur le gâteau : je me suis rendu compte que l’adaptation était du même mangaka d’un one-shot assez méconnu qui m’avait beaucoup plu intitulé
Le Cheminot. Ce dernier était également l’adaptation d’un autre roman du même auteur,
Jiro Asada. Du coup j’interprète cela comme un bon signe pour ne pas dire un gage de confiance.
Dans un genre différent qui est tout autant ma came,
Fool Night m’a fait très plaisir. J’ai lu le premier tome hier soir également. C’est un de ces manga où la vie n’est pas rose bonbon, désespéré/ désespérant avec un brin de poésie et de réflexion sociale. Là aussi c’est développée avec intelligence et personnalité. Un récit dystopique qui s’annonce très prometteur.
Bref, je suis refait, ce sont deux belles pioches.
Félicitations pour tes dernières prises (j’adhère, j’adore)