L'épisode 3 était un petit crève-cœur comme je les aime. On donne un peu plus de corps aux personnages. Les flash-back étaient vraiment intéressants et touchants. Que demander de plus ?
De très beaux moments entre Hak et Yona, très naturels et sans exagération. Mais ce qui m'a le plus marqué, c'est le geste du roi lorsqu'il retient l'épée avec la main sans hésitation. Ce simple geste est très éloquent quant au caractère de cet homme, ce n'est pas le lâche qu'on veut bien croire et cela montre bien que ne pas aimer les armes n'est pas signe de couardise. Se dire que ce personnage est déjà mort, c'est triste.
J'adore Hak qui se la joue bad boy pour finir par rougir devant cette princesse qui lui tient tête. Le moment où il tente de lui faire comprendre qu'il va faire froid et qu'ils vont devoir dormir serrés, c'était magique.
Tae-joon est de retour, pour vous jouer un mauvais tour ! Il est assez détestable mais les moments où il montre son côté gamin gâté sont rigolos. Le genre de sale gosse qu'on aime détester. J'ai toujours eu un petit faible pour ce genre de personnage. :')
Yona m'a fait frissonner. J'aime suivre l'évolution de ses réflexions, c'est un personnage magnifique.
L'épisode 6 a droit à une super animation pour les combats du début. Après quelques secondes, l’œil s'habitue, c'était surprenant. C'était une esthétique moins lisse et plus libre que dans les autres épisodes, c'était chouette. La lance est définitivement une arme trop cool. J'adore voir le détail des mouvements et voir comment Hak l'utilise. Les mouvements différents de ceux à faire avec une épée et l'ampleur de la portée (et de la force de Hak) me flattent la rétine. J'adore, vraiment. J'en attraperais presque un balai pour m'entrainer à faire pareil dans le jardin.
L'histoire avance bien, de façon équilibrée, avec d'un côté le couronnement de Soo-Woon et de l'autre l'apparition de nouveaux personnages qui vont faire avancer la quête de Yona. Même si j'apprécie moyennement Soo-Woon, je suis contente qu'on montre toutes ses facettes, de celle plus déterminée à celle du gentil petit garçon que Yona a toujours connu. On est loin d'un manichéisme primaire et ça fait plaisir.