Un début d'épisode un peu mou avec malentendu, non-dit et niaiserie dès les premières minutes. Heureusement, on est vite retombé dans le délire avec le Prince qui refuse de parler de ses sentiments pour la faire agoniser. Le fourbe. Timing parfait pour l'arrivée de Takeru, j'adore déjà cet abruti.
Le coup des lunettes avec la métaphore du jus de tomate m'a tué. xD
J'ai quand même du mal avec ce concept de conquête, même si dans cet épisode je l'ai pris comme une auto-dérision du genre (Erika essaye de plaire à Kyouya en s'adaptant à ses goûts, mais ça ne marche pas et ça prête plus à rire qu'autre chose). Je pense qu'on a bien compris que le garçon avait déjà des sentiments pour elle et qu'il s'amuse juste à la faire tourner en bourrique parce qu'il aime ça. Ce côté salaud qui s'assume me plait bien. Je ne retrouve pas l'hypocrisie générale que je ressens dans la plupart des romances scolaires lambda : le bisho est un sale type et on n'essaye pas de le faire passer pour un prince emodark au cœur tendre ; tandis que du côté de l’héroïne, on la qualifie sans peine de masochiste, sans faire comme si c'était normal de subir ça de la part d'un gars.