Pour bien commencer, parlons du début. La fameuse intro a duré 5 secondes et est narrée par Shinichi lui-même (même si j'ai l'impression d'entendre Haru, merci
Free!). Ce n'est pas vraiment un détail, je me demande si ça va être abordé dans la suite ou si c'est simplement pour zapper un certain aspect de l'histoire. Et on commence l'histoire avec... une attaque. Mmmhh. Ah ben oui, montrons directement la dangerosité des parasites. >_<
L'opening est sympa mais je le trouve tellement en décalage avec le fond de la série. :') Il ressemble à un croisement entre
Just Awake et
What's up people ?, ça manque cruellement de substance. La réalisation est quant à elle assez bateau, mais ça reste correct. J'ai quand même réussi à gravement kyayer devant trois plans : Ryouko, le couple et l'image finale.
Je suis vraiment heureuse de la voir animée. Vraiment beaucoup. Même si de toute façon tout est mieux dans le manga (je suis d'une grande objectivité), elle est quand même bien, na.
C'est déjà beauuuuucoup plus romantique que dans le manga, mais je ne vais pas cracher dessus. Quitte à faire quelque chose de différent, pourquoi pas exagérer la romance. Mais pas trop quand même, faites gaffe. è__é
Ahahah. Vu son nouveau chara-design, il a l'air encore plus décalé avec ce changement. Mais ça me rappelle plein de moments excellents.
Le "rêve" de Shinichi a été déplacé. Drôle de choix. Du coup, la réplique du père à propos du "serpent" sort un peu de nulle part et on n'a l'explication que plus tard, si le spectateur n'a pas oublié d'ici là.
Attention, il y a des playmobils dans la rue ! :3
Non-mais-c'était-quoi-cette-scène ? C'était pour remplacer le Migi en "érection" qui était mille fois plus drôle ? x)
L'arrivée de la technologie contemporaine dans
Parasite. J'avoue que ça m'a fait sourire, puis le lien vers une vidéo de chat fait tellement réaliste. ^^
Finalement, tout le début du premier tome est disséminé à l'envers dans l'épisode. C'est... particulier, mais pourquoi pas. Ceci dit, la fin de l'épisode me laisse un goût très amer : NON, ce personnage apparaît vers la fin du manga, il n'a rien à faire là. Le faire apparaître maintenant, c'est lui donner une importance qu'il n'a pas et privilégier l'aspect gore de la série. Surtout que cette scène mêlant sexe et violence est tout bonnement gratuite. Je suis un peu dégoutée.
Migi a une voix étrange. Je l'ai toujours imaginé avec un timbre bien plus grave, cette petite voix me fait tout bizarre. Elle lui donne un côté rigolo et mignon, ce qui est exacerbé par le traitement assez soft du personnage. On ne sent pas sa dangerosité, seulement vers la fin et envers un de son "espèce". Par moments, j'ai même eu l'impression qu'il avait des émotions. Hérésie !
Pour le reste, l'animation est de qualité et la réalisation tient la route. Le gros malus est l'ambiance sonore qui est assez dégueulasse. De plus, couplée aux petits bruits que fait Migi, ça ressemble plus à une sorte de cacophonie indigeste pour les oreilles. Puis j'ai ri pendant l'ending.