Pas mal déçu par ce second épisode avec l'apparition d'un personnage qui a réussi à m'agacer en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Tout y est, l'adolescente exaspérante qui se trouve en position de force et qui finira sans doute en une sorte de tsundere exaspérante.
C'est un peu ce dont j'avais peur, on verra bien...
Oulah... Comme Avendil et Dreg, je pense que t'as vu ça de travers parce que je suis prêt à mettre ma main à couper que la demoiselle qu'elle est un âge (ou non comme le fait remarquer Avendil), je suis quasi sûr qu'elle ne va pas tourner en tsundere ou personnage secondaire inutile :
C'est d'ailleurs le boss du bar donc je au contraire, ce personnage est bien plus que central...
Je répète un peu ce qui a été dit mais je m'attendais absolument pas à ce départ-là. Vraiment pas. Et j'imagine que la majeur partie des spectateurs non plus...
Le parti pris à la fois dans l'ensemble de la démarche introductive des deux premiers épisodes et de la manière de démystifier le personnage de Decim : C'est franchement surprenant. Du coup, j'ai beaucoup apprécié tout ça.
En revanche, j'ai pas du tout pris ça comme une erreur. Et c'est là que la série se révèle intéressante, en se posant sur un plan radicalement différent de certaines séries dont le pitch pourrait s'y apparenter. La phrase de fin du Boss (appelons la comme ça) montre que le jugement ne peut pas vraiment être faux, compte tenu des situations complexes qui sont proposées. Et s'il devait y en avoir un ce serait de se laisser emporter par un jugement non arbitraire des faits : Donc encore une fois, le soucis ne vient pas du personnel puisque le verdict s'avère plus que logique, peu importe qu'il y ait eu supercherie ou non. Parce qu'au final, peut on punir/condamner quelqu'un de ne pas avoir confiance ?
On pourrait continuer mais l'idée qu'il y a bien des règles, qu'il y a bien une "notion de bien et de mal", qu'il y ait aussi des arbitres répondant bien au sens propre de ce mot et pourtant, certaines situations ne verront pas de réelle solution au bout des vingt minute : C'est ça le côté qui revient sur le topic "Finalement, il n'y a pas de véritable justice"
La série se targue d'être subtile et en conséquence, elle se permet une petite profondeur sur l'idée de pousser les gens dans leurs derniers retranchement.