Je sais que c’etait une façon de parler. Mais bon entre les mots « détresse », « omerta » et « méchant » sait-on jamais, juste une précaution pour qu’on soit bien clair. Je constate que tu connais bien la définition du mot chef d’oeuvre. Aussi pour ce qui est des personnages comme du scénario je les compte parmi les éléments qui font la profondeur et la richesse d’un roman. J’entends tes griefs. J’ai aussi lu ta critique. Donc j’ai rien à ajouter à ce sujet sachant que j’ai aucun problème avec ça. Au départ je donnais mon avis en répondant à un questionnement en forme de constat sur l’intérêt futile du style graphique. C’est fait ! Et j’ai même eu plusieurs retours.
Avant de te laisser je te rappelles que tu peux toujours relire le roman, voire par la même occasion effacer le souvenir de l’anime de ta mémoire. Et si ce n’est déjà fait regarder/revoir l’adaptation pour la tv avec Gérard Depardieu. En ce qui me concerne, plutôt que de parler ici des personnages du roman je préfère partir les retrouver pour les apprécier de nouveau autrement. Sachant que cette vive et belle impulsion je ne la dois qu’à cette adaptation libre japonaise. Sinon je n’ai rien compris du tout à ton rapport au shonen, romance, bagarre, etc. La prochaine fois peut-être. Bref comme je disais l’un ou l’autre vous n’êtes pas les seuls dans votre cas. Heureusement. Vous pouvez même en parler ensemble. En tout cas d’autres sauront t’ecouter, te répondre et te comprendre mieux que moi.