Damned de damned.
Je ne peux m'empêcher de déterrer ce sujet. Me suis relu les Samidare, et j'en avais grandement oublié une partie.
Mais normal car l'ensemble se joue dans les détails, d'un trait simple, une richesse pourtant, cette gestion des cases, ces micros expressions, ce découpage. Mon dieu ça dépote.
Et quelle dose d'émotion, tellement, j'ai chialé comme jamais, c'était bon. J'avais oublié. Je vais me les re-garder au frai, histoire de relire dans 5 ans. Effet garantie.
Tellement 'était bon, que j'en ai modifié la note de ma critique. 10 pas moins, c'est pas possible.