Auteur Sujet: Les animes de la décennie 2011-2020  (Lu 7787 fois)

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GTZ

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Re : Les animes de la décennie 2011-2020
« Réponse #45 le: 29 Juin 2021, 18:23:35 »
Shadow s'en est une. La science fiction c'est large hein.

shadow8

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Re : Les animes de la décennie 2011-2020
« Réponse #46 le: 29 Juin 2021, 20:15:37 »
On se retrouve plus  dans un truc de fantastique(même si on peut dire que c'est de la science-fiction,  mais pas mal plus de la fantastique), . Après  c'est  pas juste parc qu'il  y  a  des extraterrestres. Que c'est nécessairement  de la science-fiction

Avec ce lien,  on a un peu des deux  comme ça  tout le monde est content

https://clubado.drummondville.ca/fantastique-et-science-fiction-quelle-est-la-difference/#:~:text=D%C3%A8s%20qu'on%20explique%20l,magique%2C%20on%20parle%20de%20fantasy.

Ça reste à  voir  avec  ce qu'on peut voir  même  chose ceux qui ont mis shingeki  no kyojin dans le fantastique,  c'est de la fantasy.
« Modifié: 29 Juin 2021, 20:21:46 par shadow8 »

GTZ

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Re : Les animes de la décennie 2011-2020
« Réponse #47 le: 29 Juin 2021, 20:37:42 »
Mmm, je vais être un peu tranché mais Parasyte c'est de la science fiction, je ne vois pas en quoi vraiment ça rentrerait dans le domaine fantastique. Mais bon. Je vais m'arrêter là, on dévéloppera si cela est nécessaire dans le sujet concerné.

Edit : après réflexion c'est Fantastique et Sci-fi. Après brêve recherche, ok c'est fantastique mais ça reste de la science fiction ! En gros le récit est fantastique dans un cadre de SF.
« Modifié: 29 Juin 2021, 20:50:53 par GTZ »

Matchoss

Re : Les animes de la décennie 2011-2020
« Réponse #48 le: 29 Juin 2021, 21:05:14 »
Les thématiques sont quand même vachement SF avec toute la partie réflexion sur ce qu'est l'humanité, la cohabitation avec une autre espèce intelligente, l'invasion ET.

Red Slaughterer

Re : Les animes de la décennie 2011-2020
« Réponse #49 le: 02 Juillet 2021, 18:28:11 »
Bon faut que je réponde ici aussi sinon le chef il va pas être content. Mais je suis pas très fan de ce genre d’exercice, dix ans ça fait loin pour se rappeler et bien connaitre tout ce qu'il faut, du coup au final tout le monde finit par parler des même choses. Mais bon.

- Baston :

Hunter x Hunter (2011) : Adaptation phénoménale d'un manga phénoménal. En elle-même, l’œuvre de Togashi est déjà une transformation significative des codes et des thèmes du shônen de bagarre. Cette nouvelle version ne fait rien de plus que rendre justice la brutalité naïve et la beauté cruelle de son modèle, mais le fait avec une application qui a tout d'anormal jusqu'à aujourd'hui en 2021. 150 épisodes d'une qualité aussi constante donne l'impression d'entrevoir ce que serait l'animation japonaise si elle n'était pas sur-exploitée. Cette série est probablement la raison première de l'essor incontrôlable du ce genre particulier dans l'animation japonaise ces derniers temps.

Mob Psycho 100 : Le succès de One Punch Man a soudainement rappelé à Bones qu'ils était eux aussi un studio avec pas mal d'ambition, du coup ils ont adapté l'autre manga de One et quelle réussite. Ce qui est incroyable avec Mob Psycho 100 c'est que la série ressemble souvent à une sorte d'omnibus à la Panty & Stocking alors que c'est une comédie d'action dans les règles, une qui aurait pu être publiée dans les pages du Shônen Sunday.

Go! Princess Precure : Les princesses font du kung-fu magique. Je me lasserai jamais de me rendre compte que Precure est un classique de l'anime d'action peu importe ce qu'on peut en penser et cette saison a bien régalé à ce niveau. Mais même au-delà de la bagarre très réussie, Go! Princess Precure s'est révélée être très juste dans des thèmes qui avaient l'air un peu daté à première vue, ce qui vraiment évident quand on veut parler de princesses en 2015.

- Fantastique :

Boogiepop Doesn't Laugh : Presque quinze ans plus tard, l'adaptation d'un light novel culte au Japon par le merveilleux Natsume Shingo. C'est intéressant de voir dans quel mesure une histoire de la fin des années 90 est aussi datée dans ce qu'elle peut raconter tout en étant toujours pertinante sur sa manière de représenter une vie urbaine déconnectée. Accessoirement le récit duquel Boogiepop Phantom a été le spin-off.

Concrete Revolutio : Certainement pas la meilleure série de la décennie mais sans aucun doute une des plus ambitieuses. Vouloir ré-imaginer l'histoire récente du Japon dans un univers alternatif dans lequel le figures existantes de la pop culture de l'époque sont réelles est une démarche tellement précise qu'elle risque de larguer à peu près tout le monde mais pour les même raisons c'est une bonne idée de garder en mémoire l'existence de cette niche dans l'animation japonaise tellement singulière qu'elle en devient précieuse.

Samurai Flamenco : Je trouve qu'il y a quelque chose d'assez fascinant chez les séries de super héros japonaises dans la manière dont elle ont survécues pendant plus d'une cinquantaine d'années et sont encore aujourd'hui une présance dans le paysage culturel assez forte pour que Samurai Flamenco soit un récit qui semble encore avoir le moindre sens alors même que tous les codes qu'elle emploi devraient être entièrement étrangers en occident en dehors d'une minuscule niche de connaisseurs. En tout cas si à un moment en regardant cette série vous vous demandez si ça va s'arrêter, la réponse est oui, à la dernière minute du dernier épisode. Et non, ne vous attendez pas à avoir une réponse concréte et satisfaisante de ce que vous avez vu. Mais c'est aussi ça qui est intéressant.


- Science-Fiction et anticipation :

Girls Last Tour : l'anticipation post-apocalyptique mais avec des filles mignonnes qui voyagent au milieu des restes d'une civilisation déchue dans un char. Ca aurait pu finir mal mais le résultat est parfaitement fascinant. Là où le genre a tendance imaginer que la fin du monde débutera le règne de la loi du plus fort et l'hégémonie de l'esthétique punk, Girls Last Tour choisis l'idée une vision plus philosophique d'un monde qui agonise paisiblement. Mention spéciale à l'ending réalisé en solo par l'auteure du manga elle-même.

Planet With : La douleur est aussi immense que le bonheur devant se résultant d'un vœu à la patte du singe. Production assez étrange vu qu'elle existe à l'initiative d'un certain Satoshi Mizukami, un mangaka qui a lui-même dessiné plusieurs centaines de story board pour avoir le droit à son anime. Et il l'a eu ! Malheureusement, il va surtout hériter d'une réalisation un peu cheapos, ce qui est dommage vu qu'il délivre une fois de plus récit de SF touchant et très humain. Une pépite que les bons nerds seront apprécier à sa juste valeur.

Parasite : Encore une adaptation d'une oeuvre plus ancienne, mais avec des circonstances assez différentes cette fois. Parasite est un classique du manga de SF des années 90 qui n'avait encore jamais reçu d'adaptation pour une question de droits sans aucun intérêt (tl;dr c'est encore de la faute des Etat-Unis). Au-delà de l'anecdote, il se trouve que le manga n'a pas vraiment vieillit depuis, notament parce que ses thématiques très ouverte sont toujours d'actualité, comme le sont toutes le bonne histoires de science-fiction.

- Mecha et Space-opera :

Space Battleship Yamato 2199 : S'il y a vraiment une chose à poser sur le table de cette catégorie avant de pouvoir discuter entre gentilshommes c'est clairement ce remake de Yamato. Je vois même pas quoi discuter de plus, cet anime est en même temps une ré-interprétation moderne et parfaitement valable d'une des séries le plus influentes de l'animation japonaise mais aussi le plus qualitatif anime à papa de cette décennie.

SSSS Gridman : Après avoir quitté Gainax, détourné les fonds de l'Anime Mirai pour promouvoir des kickstarter et aidé à commettre Darling in the Franxxx (eew), Trigger à décider de se racheter en réalisant enfin une séries de robots géants qui tient la route. Et pas juste un clone moyennement inspiré de Gurren Lagann, mais une ré-interprétation lente, étrange et terre-à-terre d'une vielle série de super héros obscur. Si Gridman et sa séquelle doivent être le début de quelque chose, j'attends ce qui suit avec impatience.

Space Dandy : Le vrai omnibus de Bones. Attendu un peu comme le nouveau Cowboy Bebop il s'est révélé être quelque chose d'autre entièrement. D'un bout à l'autre, Space Dandy est une série de designer et d'animateurs conçue de manière beaucoup plus décousue que les autres réalisations de Shinichirô Watanabe mais c'est pour le meilleur vu que chaque épisode devient un court métrage plus ou moins indépendant dur reste, et puis c'est vraiment beau aussi. Malgré des erreurs de parcours, la qualité Bones frappe le moment venu avec la certitude d'une horloge cassée.

- Tranche de vie, romance et drame :

Mawaru Penguidrum : Kunihiko Ikuhara a inventé la foudre qui frappe deux fois au moins endroit. Après avoir participé à l'âge d'or de la série d'animation japonaise avec l'excellent Utena, il dégaine sereinement ce qui est sans doute la meilleur production des années 2010. Au point point où je sais pas vraiment comment rendre hommage à quelque chose d'artistiquement aussi réussit en quelque lignes, désolé pour la concurrence mais c'est juste bien à ce point.

Sora Yori Mo Tooi Basho : Si l'intervention de Crunchyroll dans l'animation japonaise est le désastre dont on commence à parler, alors Sora Yori Mo Tooi Basho est l'anime qui sort des flammes tel un survivant. La qualité première de cette série est d'être écrite avec pas mal de finesse et de nonchalance, le groupe d'héroïne en particulier est très agréable à suivre, et très touchant dans les moments importants.

Kamisama Hajimemashita : Peut-être un choix un peu vieux jeu si on parle de shôjo mais quand ça marche, ça marche. Adaptation d'un manga assez classique avec des bogosses ténébreux, et aussi des bogosses un peu débiles, mais surtout qui mélange souvent de l'humour léger à son drame assez sérieux. Exactement le genre d'oeuvre taillées pour le réalisateur du Fruit Basket de 2001.

- Comédie :

Nami yo Kiitekure ! : Vous savez, je suis un être humain respectable et j'aime vraiment pas trop rire du malheur des autres, ça se fait vraiment pas. Bon c'est vrai j'ai bien rigolé devant cette série mais ce serait mieux de le mettre avec les drames, non ? C'est écrit par l'auteur de L'habitant de L'infini, quand même. Sauf que là y'a vraiment plus de place, je sais pas quoi faire, chef. Elle est bizarre cette liste, j'ai l'impression de devenir une mauvaise personne.

Hinamatsuri : Une autre série devant laquelle j'ai beaucoup ris. Bon ok y'a aussi des SDF et des yakuza et des gens tristes abandonnés sur des îles désertes, mais je sais pas ça arrive aussi, c'est la vie. De manière générale c'est assez drôle, c'est bon. Par contre, y'a aussi un personnage qui fait du kung-fu. C'est du sport le kung-fu, on est d'accord ? Je pourrais mettre cette série dans le sport ? J'ai pas trop d'idée pour cette catégorie...

Love Lab : Ah ! Il n'y a personne qui perd sa maison dans cette série, donc c'est sûr que c'est une série comique. Vous avez déjà vu les gif de celle-là en plus, mais le reste de la série est vraiment bien aussi. Déjà c'est bien animé mais en plus le sujet est trop apprioriée pour ne pas fonctionner dans l'animation japonaise. Après avoir regardée cette série, vous serez vous aussi des ren'ai sniper.

- Mystère, Enquête et Horreur :

Hyôka : Magnifique série du regretté Takemoto Yasuhiro, Hyôka est un récit à la tonalité étrange, souvent léger, parfois très mélanquolique. En jouant avec les codes des histoires de détectives appliqués à des mystères banals du quotidient, le genre perd en gravité mais gagne en échange une vision de l'ennuie et de l'émerveillement dans la curiosité qui lui permet de raconter quelque chose de complétement différent.

Erased : Erased est un manga particulier qui se situe entre un thriller assez classique et cette vague de manga sur le thème de jeunes adultes avec une vie de merde qui se voit l'occasion de pouvoir réécrire leur passé. Alors que ça aurait pu être une adaptation opportuniste d'un manga populaire, la réalisation d'Ito Tomohiko arrive mettre en lumière le potentiel dramatique de ce qui ressemble pourtant à une enquête assez banale à première vue.

Acca 13 : Cette décennie de manière générale à été très généreuse avec Natsume Ono, mais cette adaptation d'ACCA 13 par le brillant Natsume Shingo est particulièrement remarquable. Au sein même des thriller politiques, cette série se démarque beaucoup pour la subtilité et le détachement avec lequelle elle dépeint les machinations politiques, non pas comme une fabrication idéologique indéchiffrables mais comme le résultat de désirs humains beaucoup plus simples. Un anime à regarder avec de la nourriture à portée de main, vous avez été prévenus.

- Sport :

Hoshiai no Sora : Quand le réalisateur de Noein et de Visons d'Esclfowne annonce travailler sur un projet personnel, peut de monde s'imaginait voir debarquer un anime sur le soft tenis. Ce n'est pas nécessairement une mauvaise intuition, puisque Hoshi no Sora ne parle pas tant que ça de soft tenis mais plus une foulée de sujets sociaux avec une mesure qui force le respect. Du moins, le respect des spectateurs vu que la série s'est vue soudainement passer de 26 à 13 épisode en plein milieu de production, laissant la suite à la mercie des producteurs. Sans doute un des signes les plus visibles du degrés de dysfonction de l'animation japonaise actuelle.

Yuri on Ice! : A la fois projet portée par la passion de Sayo Yamamoto pour le patinage et l'anime le plus gay qui n'arrive pourtant jamais à l'assumer (honte sur cette scène "totalement amicale ahah" d'échange de bagues devant une église), Yuri on Ice! réussit à être une série de sport originale qui sort le genre des manga fleuves où il a l'habitude de se développer. Et mis de côté les appels de pied un peu nuls les thématiques souvent liées à ce genre s'y trouvent très bien traduites pour une audience adulte.

Ping Pong : Peu de chose à dire sur cet anime : Masaaki Yuasa adapte Taiyô Matsumoto, les festivaux d'annecy et Angoulèmes sont content en même temps. Vous le savez, Ping Pong est la série préférés de snobs que vous adorez détester, c'est l'animation japonaise élevé au rang d'art, vous voyez. Triste destin d'être aimé par des nuls, surtout pour une série aussi viscérale, très loin de toute forme d'intellectualisme qu'on pourrait lui associer.

- Fantasy et Isekai :

Shingeki no Kyojin : Est-ce que vraiment je dois présenter un des manga les plus lus au monde ? Non, je pense pas. Shingeki no Kyojin est une sorte d'évidence, cette série que votre pote vous décrit comme la mieux animée du monde quand chaque nouvelle saison devient un nouveau désastre de production qui met en lumière les pratiques nocives de l'industrie. Qui aurait pu deviner que cette ré-intépratétion médiavale rugueuse de Gundam deviendrait le représentant du manga mainstream ? Pas moi en tout cas.

Little Witch Academia : Après avoir volè l'argent public japonais pour financer un kickstarter, quoi de mieux qu'utuliser ce kickstarter comme promotion pour produire une série animée, je vous le demande ? Mais en vrai, je vais avoir du mal à me plaindre. Si le format feuilletonant n'apporte rien de vraiment au nouveau au récit il permet très simplement d'avoir plus de Yoh Yoshinari à l'écran, pendant plus longtemps. Je pourrais railler Trigger toute la journée, et même toute la nuit, mais leur compétence en tant qu'animateurs parle d'elle-même et tous les défaut de Little Witch Académia ne suffisent pas à nuire à son charme. De la magie à l'oeuvre, sans aucun doute.

Kono Subarshii Sekai ni Shukufuku wo ! : Rarement j'ai eu l'occasion de voir un anime aussi dédié à la moindre de ses blagues, y compris les pires, et il y a quelque chose dans le timing et la mise en scène de Takaomi Kanasaki qui fonction souvent. En plus, c'est vraiment un isekai, du coup il a bien sa place dans cette catégorie et n'a jamais, à aucun moment, été dans une autre catégorie de cette liste avant d'être bougé pour faire de la place.

- Musique :

Hibike Euphonium : A mon sens, un anime charnière de cette décennie. S'il est facile de s'arrêter au fait que ce soit une version légèrement plus dramatique d'une de ces séries avec des filles mignones qui font des trucs mignons ou de ne relever que l'attention toujours plus impressionante pour les détails dans l'animation de Kyoto Animation, Hibike! Euphonium va plus loin que ça sans pour autant le montrer directement. Si le moe était l'animation de la guérison, celui-ci est de ceux qui laissent voir la blessure.

(Oui c'est pas de la musique, on va dire que c'est une catégorie art en général, si vous êtes pas d'accord avaec mon choix plaignez-vous au chef, je sais ce que je fais)
Eizoken te wo Dasuna! : Oui, je sais vous aimez Yuasa, j'aime Yuasa, tout le monde aime Yuasa. Et Yuasa aime l'animation, ça tombe bien moi aussi. Du coup, je suis content quand il adapte un manga qui parle justement d'animation surtout quand c'est bien pour parler d'animation et pas parler de l'industrie de l'anime comme l'avait fait Shirobako quelques années avant. Ce qui démarque Eizoken est de ne pas aborder son sujet d'un point de vue purement technique pour rappeler quelque chose de plus essentiel : l'animation s'inspire de la réalité, mais quand elle semble faire quelque chose de complétement différent.

Zombi Land Saga : Bien sûr, une série avec des chansons et puis de la musique. Donc euh... oui voilà, très bonne série musicale, qui est parfois aussi assez drôle et puis c'est vrai y'a des zombis mais c'est pas grave. Et puis de toute façon j'ai même pas eu le temps de finir ce post qui tout le monde se battait déjà sur les catégories. Alors bon, oui c'est vrai, j'ai mis cinq comédies dans cette liste mais je voulais au moins que ça à l'air sérieux. Vous voyez bien que c'est bien rangé, y'a trois anime par catégorie vous avez pas fait mieux. Et c'est très bien Zombi Land Saga, je voulais vraiment que ce soit dans la liste même si bon, Mappa quoi...

Voilà, c'est mon bilan de la décennie, ça n'a aucun sens mais au moins je l'ai relu cette fois-ci. C'était long et pénible, Deluxe est un tyran qui aime juste me faire souffrir et dans 5 ans il va venir me voir pour dire "oui mais tout de souviens quand t'as dis que les fan de Ping Pong étaient des nuls".
« Modifié: 02 Juillet 2021, 18:31:16 par Red Slaughterer »

Gally@

Re : Les animes de la décennie 2011-2020
« Réponse #50 le: 07 Juillet 2021, 08:50:56 »
Quelques lignes sur Barakamon:
Un slice of life sympathique qui evolu dans un cadre original. C'est frais, on s'amuse bien et surtout, on rigole bien. Les personnages sont attachants, surtout la petite Naru. L'anime a servi à faire la promotion du manga, cela dit, cela se conclu sur une bonne note et tant mieux.

Pour 91 days, je laisse ça à Drizztou notamment  :3

Deluxe Fan

Re : Les animes de la décennie 2011-2020
« Réponse #51 le: 10 Juillet 2021, 17:37:45 »
Chose promise chose due : l'article des animes de la décennie est en ligne. N'hésitez pas à glisser un petit commentaire dessus ;)

Matchoss

Re : Les animes de la décennie 2011-2020
« Réponse #52 le: 10 Juillet 2021, 17:44:24 »
Merci pour le boulot, c'est une jolie liste.

shadow8

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Re : Les animes de la décennie 2011-2020
« Réponse #53 le: 14 Juillet 2021, 12:10:30 »
Assez content de cette liste, dans mon top 20, il y  10 animes qui sont dans la liste. Après, je trouve qu'il manque Re Zero dans les Isekai et Kaguya a plus sa place dans la comédie que la romance.