Oui « pimenté » est le mot.
Je trouve la série toujours divertissante et même charmante, cela que ce soit par son esthétique ou son récit.
#7 & 8 : cet arc avec un nouveau personnage qui au premier abord m’avait l’air inutile en plus d’être déroutant par sa ressemblance physique avec l’amie de Yoshino (« le plan chirurgie » dont j’ai oublié le prénom) me semblait pondu pour combler des lacunes ou faire trainer les choses (celles qui nous intéressent).
Loin de là c’est une forme d’introduction et de développement qui sert entre autres à faire vivre l’univers ; celui des Yakuza j’entends. On nous sert ce qu’il y a de moins reluisant, c’est-à-dire les pressions, le chantage, les manipulations, les projets de proxénétisme envers les jeunes femmes. Ou nous esquisse certains comportements, quand par exemple certaines filles incrédules (ou bien conscientes) se retrouvent inexorablement attirées par ce monde où badboys, vautours et violences sont monnaie courante.
Bref impossible de s’ennuyer les dialogues et la psychologie des personnages sont suffisamment percutants. La bagarre est évidemment la bienvenue, ça tombe bien d’ailleurs vu qu’elle se déroule en deux points chauds du 8e ep
les poings sont en train de s’exprimer pour chacun des deux garçons du triangle.
Entre le désir de vengeance de l’autre clan, les petites jalousies entre filles, ou le défi amorcé entre les deux protagonistes principaux qui continuent de se jauger, il y a de quoi manger sur plusieurs fronts comme sur plusieurs plans.
Ce n’est pas l’Osaka de Gantz non plus mais ça reste quand même du bon Osaka. xD
Plus sérieusement, après quelques doutes au départ j’apprécie plutôt bien cet arc en fin de compte.