Moonwalker par Konomi Takeshi : c'est l'heure de la séance bishô les filles.
Déjà, même si je n'ai vu que quelques images de l'anime Prince of Tennis (que je n'aime pas vraiment comme la plupart des mangas sportifs), j'ai vu que l'auteur avait un chara-design fin et lisse pour dessiner les mecs avec des beaux pecs, les trucs que les filles elles adorent quoi. Ici, c'est pareil : On a droit à cinquante pages de poses où un héros sex habillé en cuir va tourner en ridicule tous les larbins qui ont tenter de le mettre en prison. Le dessin est superbe, détaillé, varié, magnifique. L'histoire est quand à elle phagocytée par ce top-model dont le charisme emporte tout. Les demoiselles iront lire ça avant d'aller se coucher ça le fera du bien. Moi j'ai manqué de m'endormir devant...
Kintoki par le seul et l'unique Akira Toriyama
Certains des détracteurs du Dieu du Shônen Jump disent souvent que Toriyama a un genre qui ne se renouvelle pas, qu'il tourne en rond depuis Dragon Ball, etc... Et comme je fais partie de ces détracteurs, je ne peux dire le contraire devant Kintoki.
L'histoire démarre cash : le héros est le dernier de son espèce, des guerriers surpuissants à l'espérance de vie extrêmement courte. Il va croiser le chemin d'une arnaqueuse qui l'aida dans ses affaires. Autant dire qu'au niveau de l'univers comme du dessin, Toriyama n'a rien changé ni appris en vingt ans, et on ne peut s'empêcher de voir une repompe de Dragon Ball à chaque page. Le one-shot est court est plaisant à lire car drôle, mais pour la Super Legend on repassera.