- Elfhelm :
Le blast d'Elfhelm m'a paru complètement overcheaté, nous n'avons pas eu l'opportunité de voir l'étendue des pouvoirs de Danan et les capacités d'Hanarr. Mon espoir : blasté ! mais vivants!
- Casca :
On peut continuer à se demander le sort qui sera réservé par le nouvel auteur à Casca, ce personnage est complètement effacé par la tragédie et lui faire reprendre conscience pour à nouveau l'immerger dans un somnanbulisme léthargique est comme une gifle au gant...
- Puck, ou la joie de Miura :
Si on a compris ce que Miura voulait transmettre à travers Puck, je crains que son importance ait été ensevelie au profit d'un design qui se veut fidèle au personnage mais infidèle à sa nature. Les facéties de Puck sont un filon d'air frais dans l'atmosphère brumeuse de Berserk, peut-être quelque chose de propre à Miura, beaucoup trop challengeant à retranscrire à nouveau. Notre petite chataigne est devenue ce qu'elle n'a jamais été, impassible, raisonnable, réservée
- L'atmosphère actuelle :
Désolation, désespoir, impuissance face à l'inatteignable. Fidèlement porteur de toutes ces émotions, voir Guts succomber à la malice de son armure aurait été trop facile et c'est avec un plaisir non dissimulé qu'on remercie Mori de ne pas nous avoir entrainé dans dans ce fossé quand chaque planche voulait nous suggérer le contraire
- Kushan therapy :
Toujours résolument ignare des périmètres des royaumes de Berserk, on jubile à l'idée de découvir un autre royaume que la blanchâtre Falconia et son utopie putride, pour cela une escapade dans l'empire Kushan pourrait nous rafraichir un peu, même si là encore, Miura nous aurait gavé de planches surréelles. Souvenons-nous de l'apparition de Ganishka, un véritable festin pour les yeux...