Mais ce que j'ai aimé ce sont tous les gens interviewés qui donnent un point de vue assez identiqueY'a quand même quelques contradictions dans le reportage : un français dit que les japonais se fichent du jugement des autres (sur le port du sac à main pour hommes je crois), et pourtant on entend parler du "c'est mal vu" (prendre toutes ses vacances par exemple) ou du "c'est excentrique (de faire des cadeaux à sa femme !!).
J'ai bien aimé le 1er reportage moi, ça doit être mon côté geek...
T'as pensé quoi du 4e ? Il m'a vraiment touché perso. :rolleyes:
Sources: The World Factbook, CIA[2]; ONU[3]; FAO
127 463 611 personnes habitent au Japon, 65,8% des habitants vivent en zone urbaine[4]. La densité de population est élevée avec 337,4 habitants/km² sur l'ensemble du Japon et de 1523 habitants/km² en ne considérant que les zones habitables. Plus de 50% de la population vit sur 2% du pays (estimation juillet 1993).
Depuis 2005, la population japonaise a cessé de s'accroître[1].
Y'a quand même quelques contradictions dans le reportage : un français dit que les japonais se fichent du jugement des autres (sur le port du sac à main pour hommes je crois), et pourtant on entend parler du "c'est mal vu" (prendre toutes ses vacances par exemple) ou du "c'est excentrique (de faire des cadeaux à sa femme !!).
le meilleur reste incontestablement le quatrième, avec super-papi !!!! C'est bon, j'ai trouvé mon idole demain j'affiche son poster dans l'appart'. J'adore son secret de jeunesse : 'regarder loin, se donner des objectifs et foncer' par contre la cuillère d'huile d'olive dans le jus d'orange je vais peut être évité, le matin au réveil se doit pas être top.Assez hallucinant le mec en effet... par contre je l'ai trouvé très dur (limite casse-bonbon même) avec le personnel de l'hôpital !
Sinon j'ai vraiment pas accroché au deux autres docs... La vie de famille je l'ai trouvé trop clichée (c'est d'ailleurs bien drôle la façon dont cela contraste avec sa présentation sur le site : http://oeil-sur-la-planete.france2.fr/43827221-fr.php (http://oeil-sur-la-planete.france2.fr/43827221-fr.php)).C'est vrai qu'on y retrouve un grand nombre de clichés, et sans volonté particulière de les traquer apparemment. De mémoire y'a juste le coup de la déco et de l'ameublement de la maison qui faisaient finalement très européens.
C'etait sur quelle chaine, y a moyen de le chopper sur internet ce reportage ? (TV british c'est pas glop).Sur la 2 mon capitaine, en deuxième partie de soirée. Pour le moment y'a rien sur le net malheureusement.
C'est d'autant plus inquietant pour le Japon, qu'il n'est pas une terre d'immigration.En effet, seulement 1,5 % d'immigrés. Et le gouvernement ne semble pas prêt à ouvrir les frontières. Pour se justifier, un haut fonctionnaire montrait du doigt les soucis de sécurité que l'immigration a soi-disant créés en Europe et plus particulièrement France. Conclusion un peu facile, mais passons.
de toute facon, la France historiquement fut toujours un pays relativement stable demographiquement avec une émigration marginale)C'est surtout l'immigration et la natalité qui influent sur le démographie pour un pays européen, sauf contexte de guerre ou répression ponctuelle, non ?
La ponctualité au taf: *toussote* les japonais seraient desesperé par le "flegme british".. (et qu'on vienne pas me dire que les francais sont un peuple de bureaucrate....). marre des deux semaines de retards sur mes projets à cause du flegme british et comme mon boss est francais je me fais botter le train pour les anglais...Là tu me fais penser à une autre contradiction entre les différents intervenants. Un des interrogés disait que les Japonais, contrairement aux Européens, s'empressent de donner une consistance concrète à un maximum de leurs projets (cf. reportage sur les nouvelles technologies). Un autre affirmait que les Européens vont droit au but alors que les Japonais tournent autour du pot trois plombes avant de régler un problème, ce qui a le mérite d'apporter une solution souvent plus adaptée et dont les conséquences sont mieux maîtrisées (cf. patron français de Channel au Japon).
Là encore, nous sommes opposés. Quelqu'un dont les gouts vestimentaires sortent de la normalité sera montrer du doigt alors que l'entreprise est plus souple niveau horaire ou concernant les congés payés.Là dessus tu as sans doute raison, mais je ne m'avancerai pas à en faire une généralité. ^_^
EDIT: les chiffres du vieillissement m'ont sidéré. Le Japon a perdu 1 millions de personnes en 1 an (de causes naturelles) O_O Ca fait peur quand mémeFinalement c'est moins de 1% de la population, c'est pas tant que ça. ;)
Un autre affirmait que les Européens vont droit au but alors que les Japonais tournent autour du pot trois plombes avant de régler un problèmeTout dépend du point de vue : un Japonais pourrait dire qu'un Européen est trop brutal dans sa manière de parler et d'agir, tandis que les Japonais (et d'autres peuples asiatiques) seront plus subtils avec des non-dits, des allusions, des sous-entendus et une compréhension à demi-mot. :mellow:
Au fait, une précision pour les congés payés au Japon : il n'est pas mal vu de prendre ses vacances, il est mal vu de tout prendre d'un coup, nuance (ie : se prendre deux semaines consécutives de CP).En tout cas le reportage disait bien que peu d'employés prenaient toutes les vacances. En exemple, un PDG français implanté au Japon disait devoir prendre des mesures d'incitation et d'encouragement pour que ses salariés prennent l'intégralité de leurs congés. Il explicait qu'il y a quelques années, seulement 60 % des congés étaient consommés dans son entreprise, chiffre qu'il a monté à 80 %.
Tout dépend du point de vue : un Japonais pourrait dire qu'un Européen est trop brutal dans sa manière de parler et d'agir, tandis que les Japonais (et d'autres peuples asiatiques) seront plus subtils avec des non-dits, des allusions, des sous-entendus et une compréhension à demi-mot. :mellow:Qui a dit Makoto Shinkai ? ^_^
P.S.: J'ai renommé le topic pour être plus expliciteEn fait je comptais en faire un topic généraliste sur la TV mais tant pis ^^"
En fait je comptais en faire un topic généraliste sur la TV mais tant pis ^^"Ah pardon. Libre à toi de renommer le topic :)
Documentaire de 52' écrit et réalisé par Eric Bacos, et produit par Ananda. 2009.
Le Japon offre des visions contrastées de ses îles. Avec son singulier mariage de traditions et de modernité, l'archipel constitue une expérience passionnante pour le voyageur. Au-delà des cités historiques telle que Kyoto, visiter la partie occidentale de l'archipel revient à plonger au coeur d'une civilisation millénaire dont l'art de vivre et la spiritualité conservent toute leur originalité et authenticité. Doté d'une nature exubérante qui repose et vibre au gré d'une activité sismique parmi les plus importantes de la planète, le Japon ne se résume pas en quelques lignes ; il se vit par étapes, révélant peu à peu toutes ses richesses et sa diversité...
cette société où le temps semble s'écouler plus vite qu'ailleurs, qui accepte les occidentaux tant que ceux ci ne parlent pas parfaitement japonais...
Pascal Cardeilhac (Pom le poulain, Africa trek), un monteur français qui a passé plus de deux mois au Japon, de façon à vivre une grande aventure, en auto-stop, et avec une caméra mobile afin de filmer les gens avec qui il a voyagé. Cette aventure, il nous la fait partager avec des vidéos qu'il a montées pour une émission qui devrait commencer dès janvier-février 2010 sur la chaîne Voyage. Ces reportages personnalisés seront sur 5 épisodes de 26 minutes, appelés « Sur La Route D'Okinawa ».
Vous ne leur ferez jamais mettre les pieds au salon du mariage, Venise et ses gondoles provoquent chez eux des poussées d'urticaire, et ils ne voient aucun intérêt à roucouler sur les bancs publics: pour cette communauté de Japonais l'amour n'a rien à offrir. Récusant le modèle de la vie de couple, les Himotés, "impopulaires" en VF, érigent l'absence de relation amoureuse en mode de vie: être célibataire n'est plus une fatalité mais un choix.
C'est beau la libertéMais d'un autre côté celà m'a fait rigoler sur l'instant :D à cause de...
Oui je suis célibataire et je souhaite avoir le niveau "magicien" (puceau à 30 ans). Mais j'ai déjà été aux putes.Il n'y a que moi qui voit une contradiction ?
Il n'y a que moi qui voit une contradiction ?Ça pourrait être aussi un problème de traduction de la part des journalistes... :rolleyes:
Pour tout ceux que ça intéresse, l'émission sur France 3 Faut pas rêver (http://fautpasrever.france3.fr/?page=destination&destination=9&content=12) consacre son numéro de ce soir au pays du soleil levant.
Pour ceux/celles qui auraient loupé le reportage évoqué par Beck, vous pouvez le retrouver sur cette page (http://fautpasrever.france3.fr/?page=destination&destination=9&article=3&content=4).J'ai adoré !!! Le documentaire et super bien fait, et surtout, il a eu vraiment beaucoup de chance !
J'ai enregistré le programme "toqué de tokyo". Je n'ai pas vu le reportage, juste quelques minutes où on voyait des femmes sur un manège en lolita dont une disait qu'elle ne dévoilerait pas son âge.Les filles dont tu parles, ce n'est pas n'importe qui : elles ont été désignées par le gouvernement pour être les ambassadrices du kawai à travers le monde... Ils se sont pas adressés aux premières venues, ça fait plaisir à voir, même si je n'ai pas appris grand chose de nouveaux. Généralement, les personnes interviewées étaient des gens assez spécialisés dans leur domaine.
Y a du sushi à se faire !
En 2009, dans son édition tokyoïte, le Michelin a sacré la capitale japonaise, au détriment de son homologue française. On y apprenait qu'aux yeux du guide rouge, la ville nippone s'enorgueillissait de onze "trois étoiles", contre seulement dix à Paris. Et toque ! Victoire relative si l'on considère que Tokyo compte plus de restaurants : 160 000 contre 15 000 chez nous, toujours selon le Michelin. Reste que la ville est un paradis pour les gourmets, où nombre de chefs hexagonaux viennent se ressourcer les papilles. Qui sont d'ailleurs les étoilés nippons ? Des Français, des Japonais ? Un peu des deux ? Pour le comprendre, la réalisatrice s'est rendue à Tokyo. Elle y a rencontré Shuzo Kishida, jeune chef formé en France, Jiro Ono dont le sushi se déguste comme un mets savant, ou Toru Okuda, qui rêve de conquérir le monde avec sa cuisine kaiseki. Sans oublier nos ambassadeurs dans la capitale japonaise, Alain Ducasse et Michel Troisgros, sensibles aux charmes de la cuisine locale mais attachés à préserver leur identité, et Dominique Corby, qui vit à Tokyo depuis dix-sept ans et dont le restaurant a obtenu une étoile au Michelin. Un voyage aux mille et une saveurs, où Tokyo s'affirme comme le lieu de tous les défis culinaires.
Date(s) de rediffusion: Samedi, 8. janvier 2011, 05h55Source: Arte (http://videos.arte.tv/fr/videos/y_a_du_sushi_a_se_faire_-3611892.html)
Jeudi, 13. janvier 2011, 14h45
Samedi, 15. janvier 2011, 13h10
Tokyo FreetersSource: Arte tv (http://videos.arte.tv/fr/videos/tokyo_freeters-3685948.html)
Apparu dans la seconde moitié des années 1980, le terme freeter a d'abord désigné les jeunes Japonais désireux de s'affranchir du modèle traditionnel de dévouement à l'entreprise. Depuis, à l'image positive véhiculée par ce vent de liberté s'est substituée la réalité plus douloureuse de la précarité. Victimes de la morosité économique, les nouveaux freeters cumulent les emplois et se réfugient dans les cybercafés lorsqu'ils n'ont pas de toit. Dans une société où la compétition s'apprend dès le plus jeune âge, beaucoup se sentent coupables. Et si certains tentent de se révolter en organisant des manifestations, la plupart d'entre eux choisissent de rester seuls avec leur souffrance. Marc Petitjean donne la parole à ces "travailleurs jetables après usage", qui portent un regard à la fois lucide et désespéré sur leur situation, et à d'anciens freeters reconvertis dans la lutte contre les exclusions. Agrémenté de magnifiques portraits photo en noir et blanc des intervenants, ce documentaire efficace met en lumière le fossé d'incompréhension qui sépare cette génération en détresse du reste de la société japonaise.
NipponArte (http://videos.arte.tv/fr/videos/nippon-4299770.html)
Une grande traversée du Japon, où tradition et modernité se mélangent avec raffinement. Nous assistons à la marche sur le feu et à la cérémonie des bougies qui doit mener à l'éveil spirituel.
Y aura-t-il un jour un reportage sur le Japon où l'on ne se sentira pas obligé d'en parler comme étant un mélange de tradition et de modernité ? :rolleyes:En même temps c'est plutôt vrai, et ce qui choque aux premiers abords. Après c'est aussi du revu ...
On fait l'analyse de tout ce qui a été dit dans ces 10 minutes, on tombe sur la conclusion : une homogénéisation de la musique. Plus aucune surprise, inventivité artistique. On tourne en rond quoi. Les groupes deviennent interchangeables. Je me demande si ce n'est qu'un effet de mode. On disait la même chose du mange il y a quelques années, et il est encore là, mais la musique, ce n'est pas vraiment la même chose, les modes se succèdent... Bref, je reste campé sur mon avis : la k pop, ça va bien à petite dose. Une fois l'effet de surprise passé, j'ai du mal à voir où se trouve l'intérêt tellement ça a tendance à tout se ressembler.
Mais est ce que la Jpop est vraiment différente ? Les idoles qu'on sort à la chaîne et qui sont oubliées au bout de 6 mois, c'est pas très brillant non plus...Ca c'est parce que c'est un phénomène culturelle spécifique à l'asie, il ne s'agit pas que de la Corée et du Japon, les groupes bollywoodiens sont exactement aussi dans la même optique; là où je veux en venir c'est que l'appréciation de ces groupes est tout aussi culturelle, regardez le nombre de personnes participants aux festivals de Jpop et de Kpop, ce sont des stades. Pareil pour la scène française, il suffit de voir le nombre pharamineux de spectateurs qui assistent aux festivals Pop Rock. En europe et aux Etats Unis, il y'avait aussi les Boys Band et les Girls Band, qui ne font plus long feu depuis 2000 sauf quelques rares exceptions talentueuses maintenant le phénomène croissant se porte sur la pop music et la pop alternative avec pour fer de lance le succès de Coldplay. Le reportage relève ce point intéressant sans trop le développer en parlant d'une question de point de vue, un peu comme l'exemple de l'idéal masculin virilisé en occident et féminisé en Asie. Un autre aspect est de savoir si le monde est réceptif ou pas à cette vague musicale acidulée. Pour preuve il y'a des fans qui sont fières que leurs musiques puissent s'exporter et le gouvernement qui réserve un département à la k-pop. Après que ce soit là une histoire de soft power, c'est à méditer.